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Rêvé le 12 septembre 2011 - Piel avait 32 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Acomat voit un voisin (le fils de sa nourrice) passer dans le ciel en volant. Elle se dit : « Ah ! J’aimerais bien faire la même chose.» Aussitôt, elle se motive en pensant : « Tiens ! J’ai qu’à essayer de me concentrer… » et sans y croire vraiment, elle commence à s'élever. « Ce n’est pas possible » se dit-elle, « Tu voles à l’oblique, ma fille, mais ce n'est pas grave, tu peux aussi très bien voler comme ça, tu as parfaitement le droit. » Contrairement à son voisin, elle ne peut pas rester à l'horizontal comme les super-héros. Lui il vole vite, il semble aguerri, il a des gens à sauver… Elle vole à l’oblique, son gros derrière ne lui permet pas de rester à l'horizontale. Elle imagine que c'est à cause de ça, qu’elle ne vole pas bien. Elle prend garde de ne pas se prendre un immeuble ou une antenne en volant. C’est à New York, la nuit. La sensation est absolument géniale. L'impression de traverser l'air, de passer au-dessus, d'être impassible, de pouvoir aller n'importe où... Elle est géniale cette sensation, inapparentable à rien d'autre.

Une tâche noire. Suspend

Commentaires

  • Loni, le 5 juin 2012 à 15h50

    J'aime bien le côté "je ne vole pas aussi bien que mon camarade, mais je m'en fous : JE VOLE !".

    Et j'aime aussi (même si c'est très probablement involontaire) : "Je vole à l'oblique (...) tu as le droit".

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