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Rêvé le 3 juillet 2010 - Loni avait 29 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis Hannibal, de l'Agence tous risques1. Avec le reste de l'équipe, nous sommes sur le toit d'un immeuble. Une grande vague de fumée bleue se dirige vers nous, et  nous montons dans le camion pour lui échapper. je demande à Murdock s'il a des ailes qu'on pourrait visser sur la carrosserie, mais il me répond par la négative.

J'appuie trop timidement sur l'accélérateur2 et le camion, manquant de vitesse, passe par-dessus bord, le capot en avant. La fumée bleue nous rattrape dans notre chute et nous ralentit considérablement, si bien qu'au bout d'un tour complet, nous atterrissons sans encombre sur les roues, au milieu des piétons médusés.

Nous arrivons en vue du quartier chinois : son entrée est matérialisée par une tente d'indiens géante, en plastique, en plein milieu d'une prairie. Derrière elle se trouve une colline, au flanc de laquelle se trouve un hangar alors qu'un garde y entre et je bloque la porte sur mon épaule, l'empêchant de s'abaisser, pour que mes compagnons entrent à ma suite. Une fois que tout le monde est entré, je laisse la porte tomber, puis j'étends le garde d'une solide droite. L'intérieur du hangar est creusé à même la colline, et nous le suivons.

Une cinquantaine de mètres après l'entrée se trouve une alcôve d'une dizaine de mètres de large, dans laquelle deux jeunes femmes passent un coup de fil depuis une cabine fixée au mur. Je veux assommer la fille qui tient le combiné, mais un script s'enclenche3 et j'écrase la tête de l'autre demoiselle contre le miroir. Sa camarade est mortifiée, mais je lui fais signe de ne pas signaler notre présence à son interlocuteur et elle continue sa conversation comme si de rien n'était. À un moment, elle lui dit "Ha au fait, je ne t'ai pas raconté ...", et j'ai peur qu'elle nous vende, mais elle ne fait que lui raconter une anecdote. Elle finit par raccrocher et se dirige vers la sortie. Arrivée à la porte du hangar, elle se plaque contre la paroi et une porte à charnières s'ouvre, dans laquelle elle s'engouffre aussitôt.

Nous ressortons du hangar et je chante des chansons de marins4 avec Jerrard. Nous voyons Magdalena arriver avec deux autres personnes, habillées en soldats chinois : shorts beiges, chemisettes bleues claires et foulard sur les cheveux. Tout le monde se rassemble devant le hangar. Je demande aux plus jeunes de ne pas jouer trop près du muret, pour ne pas tomber de la falaise.

Le bureau d'ordiDérapages sur l'autoroute

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