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Rêvé le 17 décembre 2006 - Loni avait 26 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis en train de jouer à un jeu vidéo. Philbert me dit qu'il s'agit de Silent Hunter1, bien que je pilote un avion. Je remarque que la qualité graphique est très basse : on dirait une cinématique tirée d'un très vieux jeu. Je tente de poser mon avion, mais m'éjecte juste avant qu'il ne touche le sol.

Je me retrouve ensuite dans un train, avec des collègues. A une station, une troupe de cirque monte. Je fais tout pour qu'ils ne viennent pas s'asseoir sur ma banquette; leurs maquillages me répugnent. Ils nous expliquent qu'ils forment une troupe caritative, et qu'ils distribuent de l'argent à ceux qui en ont besoin. Ils nous en donnent pour l'enterrement de tantie Eulalie, ce qui semble apaiser l'abbé Pierre, leur chef.

Je suis ensuite dans un hangar. Sous un énorme drap blanc, se trouvent les cadavres de la quasi-totalité de la troupe. Attachés au mur, les deux seuls survivants sont arrosés au jet, d'un jus qui semble provenir de leurs congénères.

Je sors par la porte du fond, et me retrouve dans une salle de musée. Quelques marques blanches sur le sol me font penser qu'il y a eu un crime récemment. Tout à coup, deux gardiens noirs me tirent dessus. Je prends mon arme et les tue tous les deux; l'impact est si fort qu'ils sont projetés contre les murs. Je sors par la porte qui me fait face et me retrouve dans la rue2, et y trouve Jason. J'essaye de faire feu sur lui, mais mon revolver ne fonctionne plus : le barillet est coincé. Il s'apprête à sortir à son tour un pistolet, mais je suis sur lui et le lui vole avant qu'il ait pu tirer. Je lui tire quatre fois dans la tête, à vide parce qu'il s'agit d'une réplique en plastique, pour lui signifier qu'il est mort et que j'ai gagné la partie.

La machine à caféAucun arbre trop grand

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