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Rêvé le 5 février 2012 - Loni avait 31 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis avec d'anciens camarades de pension, en file indienne dans un marais, dans le bayou1. Nous allons chez une de nos amies, en suivant un couloir délimité par des lianes. Nous discutons d'un nouveau, et certains parlent de le bizuter. Thuán rappelle comment ils avaient essayer de me bizuter, à l'époque2.

Au bout d'un moment, les lianes se resserrent à un point tel qu'il devient impossible de se faufiler entre elles. Je m'écarte du chemin, pour marcher à côté. Nous arrivons ensuite dans une zone plus profonde, où nous devons marcher sur des planches flottantes3 pour arriver à la maison de notre amie. Je m'élance le premier, arrive à sauter de planche en planche, mais je m'enfonce de plus en plus, et finis par me retrouver dans le marécage jusqu'à la poitrine.

Arrivé chez notre amie, sa mère m'ouvre la porte. Je lui demande une serviette pour m'essuyer, parce que je ne veux pas mettre de l'eau croupie partout chez elle. Je regarde mes compagnons, qui s'en sont apparemment mieux sortis que moi : ils n'ont de l'eau que jusqu'aux genoux. Je me dis que malgré tout, ça doit être très compliqué pour ramener les courses.

Dans la pièce d'à côté, Pierre Bunk a trouvé un bout de papier. Il essaye de lire ce qu'il y a dessus, mais a du mal à déchiffrer mon écriture : il n'arrive qu'à lire le mot "Tarantino". Je lui demande de me le rendre : c'est mon brouillon des rêves de cette nuit, il faut que je les retranscrive avant de les oublier.

L'hélicoptère piégéAccrochage en fourgonnette

Commentaires

  • MagicEtincelle, le 5 février 2012 à 14h42

    La pensée très terre à terre sur les courses à la fin m'a bien fait rire. Complètement hors contexte XD Sinon j'aime beaucoup l'ambiance du bayou

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