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Rêvé le 2 janvier 2009 - Loni avait 28 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis avec Sachiko et Nita1, et nous nous apprêtons à sortir pour aller travailler, mais Sachiko ne retrouve plus ses clés. Nous cherchons un peu dans le salon, sans succès. Je lui dis que je claquerai la porte en partant, sans la verrouiller, ce qui lui permettra de rentrer.

Je prends le RER. Un train est déjà à quai et tout le monde y est rentré, malgré l'annonce micro expliquant qu'il rentrait au dépôt. Je m'installe avec les autres, à l'étage inférieur. J'installe mon ordinateur portable et suis surpris de constater que j'ai également avec moi une sacoche d'appareil photo vide2, un album du petit Spirou, ainsi qu'une boîte de céréales premier prix3. Au bout d'un moment, un jeune couple avec un petit garçon s'installe à mes côtés. Je ne peux pas m'empêcher de rire aux facéties de l'enfant, et nous sympathisons très vite. Je me demande si je dois donner la BD à l'enfant. Pierre Bunk et Marja la chercheront peut-être ?

A notre arrivée en gare, nous prenons le tram4. Il circule doucement le long d'un bar à jus de fruits. Lors du premier virage, le tangage un peu fort me fait constater que le tram est suspendu à un rail de caoutchouc vissé au plafond. Nous nous approchons ensuite d'un autre comptoir, le long duquel d'étranges containers blancs, ressemblant à des poubelles design, sont alignés. Je range mes jambes quand nous atteignons leur niveau, car je suis sur une toute petite plateforme à l'avant du tram, qui se cogne régulièrement contre les réceptacles. Je comprends alors qu'il s'agit de crachoirs, que des rappeurs utilisent juste avant le passage du tram, manquant de nous cracher dessus à chaque tentative (surtout qu'ils postillonnent plus qu'ils ne crachent, et en mettent la majeure partie à côté). Je vois que l'un des crachoirs est auto-nettoyant : un mince filet d'eau vient en recouvrir les parois internes.

Nous prenons de la vitesse, et tournoyons sur nous-mêmes de plus en plus vite : nous sommes dans des nacelles individuelles, reliées au rail par deux cordes. Nous sautons tous à terre lors de l'arrêt, puis nous précipitons à l'entrée d'un tunnel coloré, où nous attendent des luges vertes appelées LGS, pour "Léger début de grossesse"5.

Je me retrouve alors dans le RER, avec Sachiko au bout du fil. Elle m'explique qu'elle est dans le même wagon que moi, mais qu'elle est un peu malade. Je tente de l'appeler pour la situer, mais je la vois en me retournant6. Nous descendons tous les deux au terminus : le train s'est arrêté dans une espèce d'entrepôt aux containers bigarrés. Sachiko rebrousse chemin vers le haut du quai, bien que je lui explique qu'il s'agit de la mauvaise direction. Elle revient alors pour me dire qu'elle cherchait juste à savoir où irait le train.

De retour vers l'entrepôt, je cherche les LGS du regard, mais je ne les trouve pas. Je m'avance dans un couloir, mais je rebrousse chemin en voyant les crachoirs au loin : les LGS se trouvent sans aucun doute dans l'autre sens. Je vois alors les voiturettes en plastique coloré, garées derrière un container. Je tente de convaincre Sachiko de les utiliser, mais elle hésite à cause de son état. Elle demande alors à la préposée si ce n'est pas contre-indiqué en cas de grossesse, ce à quoi la demoiselle affirme que non.

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