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Rêvé le 30 avril 2012 - Loni avait 31 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis avec Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg1 dans un RER. Nounou Ogg manipule un spray qui fait disparaître les importuns. Il ne semble pas marcher sur moi, ni sur la demoiselle sur la banquette d'à côté2. Mémé Ciredutemps explique à Nounou que c'est peut-être parce que pour les autres, elle les avait frappés sur la nuque avec une matraque intégrée à la bombe.

Nous arrivons en gare de Rosny-sous-Bois, et sommes tous les trois un peu perdus : en effet, de nombreuses lignes de métro et RER s'y croisent, les rails suspendus dans la salle sans maintien visible, au milieu de hautes colonnes de pierre. Je fais remarquer aux sorcières que même elles ont du mal à s'orienter ici, mais elles ne m'écoutent pas et passent un tourniquet. Je veux les suivre, mais aucun ne semble avoir de lecteur adapté à mon passe de transports : j'ai détaché de ma carte un cylindre métallique arrondi detrois centimètres d'épaisseur. Quand je trouve enfin un tourniquet avec l'emplacement approprié, mon cylindre ne s'y adapte pas parfaitement et je ne peux pas passer, malgré mes nombreux essais. Nounou ne fait pas attention à moi, et je comprends que je suis finalement devenu invisible moi aussi. Je les vois s'éloigner, et entends Mémé Ciredutemps expliquer à Nounou que les particules qui disparaissent de cette façon vont se retrouver sur les fesses de Jennifer Lopez3.

Je suis désormais Nounou, dans un petit studio vétuste. Je sais que je suis au travail, mais il n'y a personne excepté Jelani à un autre étage4. Je décide de profiter de la solitude et de m'allumer une cigarette sur la gazinière, qui se trouve à hauteur de regard dans une étagère du meuble de cuisine. Je coupe le feu, mais entends le gaz continuer de siffler, et il se rallume quand je souffle la fumée de ma cigarette dessus. Je décide de couper l'arrivée de gaz5. J'entends alors Mémé Ciredutemps me parler et je suis tellement surprise que je fais tomber ma cendre sur l'épaisse moquette.

Je redeviens moi-même, et je participe à un jeu vidéo grandeur nature. Je quitte un hangar sécurité et m'engage dans un complexe de larges couloirs futuristes. J'abats quelques ennemis (Des militaires), et approche d'un missile. Celui-ci se met tout seul en route, s'élance en produisant une fumée rouge, suit le virage à gauche du couloir puis vient s'insérer dans la tuyauterie au plafond.

Je reviens alors sur mes pas. Dans le hangar d'où j'étais parti se trouvent une vingtaine de femmes nues, baignant dans de la mousse de gel douche. J'aimerais bien les rejoindre, et regarde un peu voir si des hommes sont déjà présents, histoire d'être sur que c'est bien mixte. J'en vois deux enlacés au milieu de la pièce, et je commence à me déshabiller, bien que j'aie un peu d'appréhension. Nounou Ogg6 m'invite à m'allonger à ses côtés, mais je préfère m'asseoir un peu plus loin. Curieusement, malgré la situation, je ne ressens pas de désir, je n'ai pas d'érection. Je commence à caresser le bas-ventre et les percings d'une femme tatouée à côté de moi, mais elle me repousse gentiment en disant "Ça fait vingt-sept jours"7. Je lui demande alors si ça ne la dérange pas que je caresse les os apparents de ses jambes8.

DoxypaluLe dernier test du Joueur du Grenier

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