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Rêvé le 28 juillet 2006 - Loni avait 25 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis à la campagne, sur une colline. Je me demande si j'aurai le droit de devenir chef de troupe (aux scouts), bien que je n'aie pas fait ma promesse1.

Quelqu'un arrive (apparemment un chef scout2)et me demande de le suivre. Sur un côté de la colline, il y a un chemin étroit et très escarpé qui longe le rebord de la falaise. Il me dit que seuls les scouts ayant fait leur promesse peuvent passer par là, les autres devant passer par un autre chemin, beaucoup moins dangereux. Je vois un jeune scout avancer sur le chemin étroit à la suite de son chef, et ça me décide à les suivre.

Le chemin fait cinq centimètres de large et est légèrement bombé, si bien que je dois me mettre en travers pour avancer (alors que le jeune scout qui me précède y arrivait sans souci). je finis par me retrouver au niveau de l'eau. Pour continuer d'avancer, il faut aggriper la falaise (il y a des prises régulièrement espacées pour les pieds et les mains). Je chasse auparavant avec dégoût deux grosses araignées d'environ cinq centimètres de diamètre (sans les pattes), puis j'avance. Je monte assez rapidement, les prises sont disposées de manière à faciliter la progression.

Au bout d'un moment, je me retrouve dans une salle de musée dédiée à un ancien peuple indien. Sur la gauche, sur une commode, se trouve un petit piano : il n'a pas plus de cinq centimètres de large, et ne comporte que quelques touches. Je pianote un peu dessus (il semble qu'on soit encourgé à le faire); il est encore en état de marche.

Je me retrouve alors sur la falaise sur laquelle il est devenu de plus en plus difficile d'avancer; les prises s'espacent, et des renflements de la paroi rendent l'ascension plus acrobatique. Nous nous retrouvons régulièrement dans des salles de musée au cours de l'ascension, avec la même organisation que la première : le meuble à l'entrée avec le petit instrument, et des vitrines horizontales avec des photos et des objets, que je ne regarde pas. Je joue ainsi de la mini-cornemuse et de la mini-harpe à une corde (mais dont le son est très agréable). Cette salle est la dernière, et j'entends le bruit de la circulation à l'extérieur. Je grommelle contre les méfaits de la civilisation, et je revois le chef scout; il avait oublié de me dire que des guêpes nichaient dans des anfractuosités de la falaise, et qu'il valait mieux ne pas se servir de nos mains pour progresser. je lui explique que ça doit être difficile, et il me répond que ça leur est déjà arrivé de tomber à l'eau (qui n'a pas l'air très profonde). Il me dit également que la banquette avait souffert après ça; j'imagine qu'il parlait de la banquette du métro.

Je lui raconte ensuite que nous étions obligés d'aller sur notre île en barque, et que mes deux "cul-de-pat'"3 étaient devenus chefs de troupe4.

Les voisins des parentsLes pyjamas

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