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Rêvé le 19 septembre 2007 - Loni avait 27 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je marche avec des amis dans la rue, il me semble que nous sommes en mission. Nous arrivons devant un bâtiment, et nous engouffrons juste derrière une employée noire en tailleur, bien que je sais que nous avons un badge d'accès.

Une fois à l'intérieur, nous nous précipitons vers un énorme ascenseur, et j'imite les employés en me plaquant contre le mur du fond, dans le coin gauche. Je me cogne le crâne contre une espèce de caméra infrarouge qui détecte apparemment les personnes non-autorisées. La paroi du fond se met alors à avancer sur la quasi totalité de sa largeur, ne laissant que la portion où je me trouve avec la caméra1. Je crie car mon pied me fait mal : il n'y a que très peu de place entre le mur et la paroi qui avance, et je suis dans une position très inconfortable.

Au bout d'un moment, un gigantesque souffle d'air sort de la paroi ainsi avancée, propulsant deux jeunes femmes hors de l'ascenseur, apparemment sans dommage. Le système doit servir à évacuer les imposteurs avant que l'ascenseur ne se mette en route. Un technicien arrive alors, et cherche à désactiver le système avant qu'il ne s'enclenche une seconde fois. Il soulève la paroi (qui est en fait un rideau), et trifouille quelques instants. Une fois qu'il a fini, le rideau a disparu.

Je vois derrière une pièce carrelée, avec deux étagères sur lesquelles se trouvent des fioles et des flacons. Il me demande de surveiller une des étagères, devant laquelle je me poste. L'étagère bascule soudainement, et je la retiens in extremis avant qu'elle ne tombe. Quelques instants plus tard, elle se remet à tanguer, et je la retiens avec peine. Un jeune homme asiatique m'aide; il tient le bas de l'étagère pendant que je tiens le haut, l'empêchant de rebasculer. Malgré nos efforts conjugués,  je sens l'étagère se pencher de plus en plus : son contenu chavire et se brise sur ma tête et mes épaules. Je n'en peux plus et mâche d'un coup, faisant tout tomber sur mon infortuné camarade.

Furieux, le technicien nous demande pourquoi nous avons lâché. Je lui explique qu'un des pieds de l'étagère s'était brisé2, mais il ne me croit pas.

Je me suis réveillé une minute avant la sonnerie, en me sentant fiévreux.

Discussion dans le trainLe canapé

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