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Rêvé le 12 mars 2012 - Loni avait 31 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je descends dans le salon de mes parents1. Trois amis sont sur place, et deux d'entre eux sont déguisés en Tortues Ninja2, et ils nous tendent deux costumes. Le premier est celui de Michaelangelo, et je n'arrive pas à deviner si le second est Donatello ou Leonardo, les nuances de couleur entre les deux étant trop subtiles. Je dis à mes amis que je prends la tenue de Michaelangelo, bien entendu3. Je tente d'enfiler les gants, mais ils me semblent bien trop petits : je n'arrive qu'à y mettre mes phalanges. La ficelle qui les relie4 est également bien trop courte, il faudra que je pense à la couper : je n'arrive pas à la casser en tirant dessus. Le dernier de mes amis n'a pas souhaité se déguiser comme nous : il porte une veste ressemblant à un gilet pare-balles assez classe.

Je me retrouve alors sur un champ de bataille, dans une étendue sablonneuse apparemment proche de la mer. Quelques-uns de mes compagnons se font tirer dessus, mais ils ne ressentent apparemment pas de douleur, et se contentent d'annoncer dans leur micro qu'ils se rendent à l'infirmerie. Je me dis que la qualité des équipements militaires s'est grandement améliorée. Je comprends ensuite qu'il ne s'agit pas d'un entraînement à balles réelles.

Je me cache dernière une coccinelle blanche à pois bleus, et je vois un de mes camarades se faire tirer dans la main. Je laisse traîner la mienne en bas de la voiture, me disant que ça ne risque pas d'arriver deux fois, mais une balle arrive sur mon index, m'occassionnant une gêne plus qu'une douleur. Je ne sais pas trop quoi dire, et annonce dans le micro "Je suis touché, je vais à l'infirmerie, j'en ai pour cinq minutes je pense".

Une fois sur place, seulement quelques dizaines de mètres en arrière du champ de bataille, contre un paravent de plage blanc à rayures verticales bleues adossé à une colline dominant le théâtre des opérations, je vois le soldat qui s'est blessé juste avant moi5, tenter de mettre un pansement sur son index blessé, duquel l'ongle est en train de se détacher, en l'absence d'un infirmier. Le sergent instructeur arrive, et mon compagnon d'infortune lui annonce qu'il va mourir.

Quand le sergent-instructeur me regarde, il se met à m'engueuler : ma blessure ne justifie pas que j'aille à l'infirmerie ! Je lui réponds que j'ai été touché à l'index droit, et que ça m'empêcherait de tirer. Devant son mutisme, je commence à comprendre : la montée d'adrénaline aurait du compenser la douleur et me permettre de continuer le combat.

L'aquarium de ma mèreLes résultats du premier tour

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