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Rêvé le 27 octobre 2011 - Loni avait 31 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je sors d'une station de métro1, et me dirige dans les rues de Paris. J'ai rendez-vous avec Pierre Bunk et Bijne, mais le plan que j'ai n'est pas très précis, et je ne peux demander mon chemin à personne vu qu'il fait nuit.

Je téléphone à Bijne pour leur demander des précisions, mais à peine a-t'il décroché que je vois une large porte en bois s'ouvrir devant moi et Bijne en sortir. Il me fait entrer dans une toute petite pièce, dont la porte fait la largeur complète, avec un canapé au fond et une petite télé dans un coin. De l'autre côté du mur se trouvent les autres pièces2, mais je n'y entrerai pas. Je leur dis que j'ai assez faim, et je vais voir dans la rue s'il n'y a pas un restaurant d'ouvert.

Une fois dans la rue, je me dirige vers la seule boutique, celle d'un coiffeur, dont l'enseigne est encore lumineuse. Je sais que j'ai un entretien là-bas demain, et je me demande si je ne vais pas le gêner. Il semble ennuyé, mais consent malgré tout à me faire entrer. Je lui dis que j'apprécie particulièrement sa boutique (Lumières roses douces et parois en verre), mais je pense que le fait que le sol soit en pente forte (Depuis le fond gauche vers la vitrine d'angle) peut poser un problème aux clients.

Je me retrouve à table avec le coiffeur et sa famille. Le coiffeur est de plus en plus renforgné, mais sa femme semble apprécier de m'avoir à dîner. Elle me demande d'où je viens, mais avant que je puisse répondre, elle me raconte que depuis qu'elle a emménagé dans le dix-huitième, elle se sent beaucoup mieux3, et que le quartier est très agréable.

Violence vidéoludiqueLe roman de Guy Birenbaum

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