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Rêvé le 7 août 2014 - Loni avait 33 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis dans une librairie qui a ouvert exceptionnellement bien qu'elle soit en inventaire : de nombreux rayonnages sont vides, et les autres sont remplis d'ouvrages qui ne sont pas à la bonne place. 

Je suis en slip kangourou trop large1 avec un t-shirt, et un des vendeurs me dit que j'ai de la chance : en temps normal, personne ne m'aurait toléré ici dans cette tenue. Dans le premier rayonnage, les revues pornographiques sont placées à côté des bandes dessinées. Je consulte les BDs, qui ne m'intéressent que moyennement, puis je m'oriente vers la gauche du rayonnage, où sont rangées les revues pornos. Je les regarde nonchalamment, tout en cherchant un moyen d'en voler une discrètement : la porte d'entrée est juste en face et personne ne regarde; ils sont tous trop occupés à tout ranger. Je décide finalement de ne rien voler, et quitte la librairie. Une fois dehors, je me rends compte que j'ai très bien fait : deux vigiles bien baraqués surveillent la sortie. 

Je me dirige vers mon hôtel quand je me rends compte que je vais avoir du mal à y rentrer : ma carte est restée dans mon pantalon ! Je vois alors quelqu'un qui s'apprête à renter, et je me faufile derrière lui. Je vais monter les marches, quand la réceptionniste m'interpelle. Je fais demi-tour pour lui expliquer quand je le rends compte que la personne qui m'a laissé entrer n'est personne d'autre que Lanty2. Il est en costard et semble avoir bien réussi sa vie3

La réceptionniste, qui doute de moi, m'accompagne à l'étage où je recherche ma chambre, mais je ne reconnais pas les lieux. Je lui demande si les travaux de rénovation sont récents : la dernière fois que je suis venu, l'escalier était au centre de l'étage, et maintenant il en fait le tour, laissant une immense mezzanine au centre. Je me rends alors compte que cet hôtel à été loué sans le cadre de Vestale alors que le dernier dans lequel je sois allé était à l'époque d'Odalisque4

Nous sommes ensuite dans une chambre, avec des collègues5. La réceptionniste tient un chaton dans ses bras, qui se remet d'une blessure : il a de grosses croûtes sur la patte antérieure droite. Je vais le caresser, mais il émet un pet, et je me recule instinctivement. 

La réceptionniste veut continuer à m'interroger, mais tandis qu'elle me parle, j'aperçois un jet par la fenêtre, qui effectue de nombreuses acrobaties à basse altitude, au-dessus de la Seine. Je lui fais signe de la fermer de la main, tandis que j'admire la virtuosité du pilote : il enchaîne les virages à une vitesse ahurissante, la moindre erreur pouvant lui coûter la vie. Je tique un peu de constater que le centre de gravité de l'avion se trouve au niveau du cockpit, mais c'est seulement cela qui permette d'expliquer la facilité avec laquelle l'avion peut prendre des virages si serrés. Je me demande également si le pilote à l'autorisation de sa hiérarchie pour pratiquer son entraînement ici. 

La combinaison du casierSarkozy, l'Église et la Mafia

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