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Rêvé le 29 décembre 2012 - Loni avait 32 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis dans une grande rue américaine très large. Je suis déjà responsable de plusieurs attentats dans une tranchée de travaux. Les ouvriers sont désormais armés, et excessivement méfiants : ils sont prêts à tirer au moindre signe suspect. Caché derrière une protection de chantier1, je suis prêt à en sortir pour annoncer que je suis le terroriste, mais je me ravise au dernier moment.

Je marche le long de la rue avec quelqu'un, qui sait que je suis le tueur. Je lui montre les ouvriers en train de creuser, et lui dis que j'ai caché une bonbonne de gaz dans le sol. Il voudrait me dénoncer, mais n'y arrive pas. J'ai juste le temps de me retourner avant que toute la tranchée n'explose, laissant un immense cratère où quelques ouvriers ont réussi à survivre.

Sur le trottoir d'en face, plusieurs personnes me reconnaissent en tant qu'Andrew Landis2, mais ils n'osent pas non plus me dénoncer. Un des gars, nommé Tristan, revient pour se moquer de mon prénom. Je le soulève et lui frappe violemment la tête et le dos contre le bitume.

Dans un espèce d'entracte, je vois Prunelle et Fantasio prendre un taxi en direction d'Angers. Prunelle a l'air content de pouvoir se reposer, mais Fantasio a apporté du travail, et il sort des graphiques de son attaché-case.

Je suis dans un couloir gris. À ma gauche se trouve une petite chambre délabrée, avec pour seul meuble un vieux lit en métal. Dedans se trouve Cameron Diaz (Que j'identifie comme étant Gwyneth Paltrow), chauve et décharnée. Dans la pièce suivante, je m'attends à trouver Andrew Landis dans le même état, et que l'histoire précédente n'aurait été qu'un rêve. Au lieu de ça, je trouve Ewan MacGregor, en train de discuter avec Ewan MacGregor, agonisant dans le lit3. J'apprends que le film s'appelle Eight Mile. En sortant, j'entends une voix dire que la plupart des spectateurs laissent le personnage mlurir (Comme je l'ai fait), alors qu'il existe une solution pour le sauver.

J'entre dans des WC, qui sont également des vestiaires de sport. En face de moi, se trouve un gars baraqué avec un tout petit sexe. J'avise deux WC de disponibles sur les dix que compte la salle, tous pleins de condensation sur leurs portes vitrées, et entre dans celui de gauche. Avant que je ne ferme la porte, Ed Harris4 me demande de lui filer du papier toilette. Il explique ensuite que l'avocat des personnes qui n'ont pas réagi face au terroriste a invoqué l'utilisation de Google Maps en disant que ça les désensibilisait à la violence. Je ne suis pas d'accord : selon moi, c'est la lâcheté, et uniquement elle, qui les a poussé à ne rien dire.

Je vais lui redemander le papier toilette, mais je me rends compte qu'il m'en reste assez, alors je lui demande de fermer la porte. Il le fait, et je l'entends dire à ses copains qu'il l'a fait, bien qu'il me prenne pour un couillon5. Je lui dis que j'ai tout entendu (Ou est-ce que que j'ai lu sur ses lèvres à travers la porte vitrée ?)

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