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Rêvé le 25 octobre 2011 - Loni avait 31 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis dans un centre commercial avec un jeune garçon. Au détour d'un rayon, je lui donne un coup de couteau en travers du cou qu'il a très étroit, le tranchant au passage, mais sa tête ne tombe pas : elle est encore reliée à son corps par un morceau de peau. Il s'allonge sur le dos, et nous lui donnons des coups de pied1. Quelqu'un nous voit et s'étonne de la tête que fait le garçon, qui est contre toute attente encore sur ses épaules. Je le relève et nous nous dirigeons vers la sortie.

Tout en marchant, je me dis que j'ai peut-être fait une connerie. J'aimerais bien l'abandonner sur place, mais je me dis que je vais devoir assumer mes actes. Arrivé sur la terrasse devant le magasin, je vois mon iPad sur une table. Je rage de l'avoir laissé à la portée de n'importe qui : il est maintenant voilé, comme si quelqu'un avait tenté de le plier en deux. J'essaye de le redresser, mais je ne fais que briser le dos de l'iPad, le rendant encore plus mobile, comme si je tenais un magazine dans les mains. Je m'efforce de bien le tenir : je ne veux pas briser l'écran en le pliant trop fort.

Je rentre dans le magasin, à la recherche d'un vendeur. Je les retrouve tous2 dans un coin, trois d'entre eux montés sur une estrade. Je demande à un de ceux qui sont sur l'estrade si mon iPad peut être réparé, mais il ne m'écoute pas. Il explique à tout le monde qu'une loi avait été votée deux ans plus tôt pour travailler plus3, mais qu'elle n'a pas été abrogée alors qu'elle était censée être temporaire. Il dit ensuite qu'en compensation, nous devons tous travailler sept heures par jour au lieu de huit pendant toute une année, mais que les patrons ne semblent pas très intéressés d'appliquer cette loi.

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