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Rêvé le 14 juin 2008 - Loni avait 27 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis à vélo, dans une petite ville1. Je viens de faire quelques courses, et il faut que je passe une seconde fois en caisse. Je suis un peu choqué mais j'obtempère, d'autant plus que Sachiko et Thorburn n'ont pas encore payé leurs achats. Je passe sans encombre, mais Thorburn se fait alpaguer par une caissière qui lui demande de payer le téléviseur qui tient sur la poignée de son caddie.

Nous repartons à vélo, et descendons assez rapidement une rue. J'ai repris le téléviseur sur mon guidon, mais malgré son poids je n'ai pas mal à la main droite, sur laquelle il repose.

Une fois en bas de la pente, j'arrive devant une grande intersection, où se trouvent de nombreuses personnes. Au-delà de la route perpendiculaire, ne se trouvent qu'une bordure d'arbres et des champs. En arrivant à hauteur de ces personnes, un petit vieux m'interpelle : apparemment, en passant par là en fourgonnette, je suis passé très vite devant eux. Il veut que j'admette que j'ai ét dangereux. Je l'admets, moitié pour qu'il me laisse tranquille, moitié parce que je ne m'en rappelle plus très bien et que ça pourrait être vrai.

J'arrive à la fourgonnette blanche2, dans laquelle je mets mes courses. Il me semble que Sachiko et Thorburn mettent un peu de temps à venir. Je me dis qu'ils doivent être amants, sans que ça me tracasse outre mesure.

J'ouvre la portière de gauche pour remettre le siège de Thorburn en place3. Quelque chose à l'arrière m'empêche de le reculer comme il devrait l'être, et je le dégage. Je déplie ensuite entièrement le siège, et le place complètement à l'horizontale. Je découvre ainsi un second dossier, plus court, que je mets à la verticale.

Je me mets au volant, et constate que je suis trop loin sur la route : je ne peux pas aller sur la voie d'en face car il y a un terre-plein central. Je recule donc vers la fourchette, avec d'infinies précautions pour ne pas blesser les personnes qui y sont encore.

De retour à la maison je tombe sur Yoshi, qui me menace avec un pistolet assez singulier : sa forme est très alambiquée, comme un vieux tromblon, et il semble rouillé. Il me dit que c'est le pistolet de Batman, et se rend compte qu'il a oublié de déplier son rétroviseur, ce qu'il fait avant de s'en aller.

Je me rends compte qu'au centre de la pièce où je me trouve, trône un canapé-lit de type clic-clac4. Je vois dessus une housse de couette et divers vêtements5 en boule sur la housse de couette. Le lit se met alors en route et se met à tourner sur lui-même, tout en se désaxant (comme certaines attractions à la fête foraine), et je m'étonne que rien n'en tombe.

Je me réveille vers 9h45, alors que la machine à laver finit son cycle d'essorage. Sachiko l'avait mise en route avant de partir chez sa mère.

Le vieux busLe petit aveugle

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