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Rêvé le 5 juillet 2009 - Loni avait 28 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je vois un commando armé ramper dans une cour de ferme. Ils chuchotent tous "Un, deux" pour rythmer leur progression, mais le font tellement fort que j'ai l'impression qu'ils crient. Je m'étonne que les adversaires ne noue aient pas encore remarqués.

Une fois que nous sommes arrivés au fond de la cour de ferme, nous nous mettons tous en place. Je suis juste devant l'enclos à pingouins, et je tire sur l'un d'entre eux au fusil à pompe. Nos adversaires sont alertés de notre présence et commencent à nous tirer dessus. Malheureusement pour eux, nous les voyons très bien à cause de la lumière. Un mur de la ferme manque carrément, ce qui fait que nos ennemis n'ont rien pour se mettre à couvert.

Je prends ma mitraillette et souffle dans le canon pour la faire tirer. Je crible un ennemi de balles, puis la mitrailleuse s'enraye. Je me demande sur quelle touche je dois appuyer, mais je finis par trouver un levier à faire glisser pour la décoincer.

Une fois tout le monde descendu, nous avançons vers la gauche de la ferme. Comme j'ouvre la marche, c'est à moi d'ouvrir la porte. A l'intérieur se trouve notre cible, en train de manger. Je lui tire une grosse rafale dessus, qu'il ne semble pas ressentir. Je ferme la porte et la rouvre quand je suis prêt pour une nouvelle attaque. Il est toujours là, mort sur sa chaise, les yeux écarquillés par la surprise. Il se redresse et le dit qu'il a été tellement surpris qu'il n'a pas pu réagir à son assassinat, puis il retombe adossé à sa chaise.

Je veux montrer sa tête à mes camarades, mais ils sont occupés : l'un d'entre eux est immergé jusqu'aux épaules dans la boue et il explique que les bains de boue sont excellents pour la santé, avant d'admettre qu'il est tombé dans un trou.

Plage pour handicapésFamille brisée

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