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Rêvé le 1er février 2009 - Loni avait 28 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je quitte le bar du rêve précedent en suivant mes camarades : nous allons en colonie. J'explique que je n'ai pas pris de valise, car nous irons près de chez mes parents. En remontant la rue, je discute avec Anouk, qui me dit que j'avais eu du mal à me faire intégrer dans leur bande. Je lui demande des nouvelles de Britney.

Nous remontons une pente, et finissons par arriver dans une grande résidence. Nous longeons un cours d'eau où le fils des propriétaires nous accueille, en équilibre sur des planches de bois. Je me dis qu'il doit avoir beaucoup d'entraînement et me demande si nous pourrons l'égaler un jour. Nous continuons notre route, et arrivons dans le jardin. Nous y trouvons une vieille femme, un koala à ses côtés. Elle rentre vite à l'intérieur, et laisse sortir un petit chien ainsi que ce qui me semble être un babouin, qui est en fait un caniche coiffé à la lion.

Anouk et moi rentrons vite dans la maison, et nous fermons la porte sur nous pour que les chiens n'entrent pas. En nous retournant, nous les voyons derrière nous : ils ont dû rentrer par une trappe dans la porte que je n'arrive pas à distinguer. On nous installe dans un petit salon, où notre hôte me demande des informations sur une bague bleue que je porte au doigt. Je lui explique qu'il s'agit de ma bague de fiançailles, et qu'elle est réversible : elle est bleue d'un côté, et rose de l'autre. Je montre comment faire pour la retourner, tout en expliquant que la bague est relativement fragile, et qu'elle cassera si je le fais trop souvent.

Anouk vient me dire que Nikomachos a râlé parce que je ne lui ai pas remboursé les consommations au bistrot, tout à l'heure. Je lui dis que je lui ai pourtant donné une pièce de deux euros, et qu'il n'a pas pu donner cent euros au bistrot : je l'ai vu sortir un billet de dix euros.

Je me rends alors compte que Mirjami est en face de moi. Elle a l'air en forme1, et nous commençons à discuter. Au fur et à mesure, je m'approche du mur où une vieille horloge, type coucou suisse, est suspendue. Je discute avec l'horloge, parce que je sais que Mirjami y est maintenue en vie. Elle me dit qu'elle va bientôt mourir, et qu'elle passe ses trois dernières heures en ma présence. Très ému, je ne dis plus rien et me contente de caresser le côté de l'horloge, comme je caresserais la joue de Mirjami. Derrière moi, les autres personnes me disent qu'il ne faut pas pleurer.

Nous retournons dehors. Au moment de franchir la porte, le chien-babouin se frotte contre ma jambe. Je le repousse brusquement, et râle parce qu'il a laissé une odeur sur mon pantalon. J'arrive dans une clairière où une longue table est dressée et tente de m'asseoir, mais mon siège est bien trop haut. En face de moi, Dumbledore2 se moque en disant que comme je suis grand, je dois choisir un siège plus petit. Je lui réponds qu'il est grand, lui aussi. En haut d'un arbre, des enfants me posent des questions.

Le portefeuille transparentA vélo

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