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Rêvé le 28 octobre 2010 - fa* avait 30 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

 

Je suis derrière ma maison, je m’occupe de mes vêtements, posés à plat sur un petit sèche-linge pliant. Des oiseaux ont déféqué sur trois de mes habits, les fientes sont violettes sombres parce qu’ils ont mangé des baies noires. Je me galère à nettoyer, mais les tâches se diluent, s’étalent et deviennent roses. Je suis un peu énervée.

A la place du bois et des champs de la vraie vie, après avoir franchi une petite marche, s’étale une longue plage à perte de vue. C’est marée basse, le sable est mouillé ; l’atmosphère est chargée d’une légère brume, il fait doux. Des gens se tiennent en petits groupes espacés jusqu’à l’infini. C’est une journée de trocs en tout genre. Soaz et ma grand-mère sont affairées à échanger de petits objets en métal peint, des espèces de badges-boutons. Elles troquent avec un groupe de jeunes garçons. Ils ont une liste de valeurs pour chaque modèle (un peu comme les pin’s) : je vois un mot écrit sur le badge-bouton (une marque ? un groupe de rock ?) ; selon la couleur de la typo, on lui attribue une valeur différente, jusqu’à 5€ et même 13€. Je trouve que c’est beaucoup, cela m’amuse. Ma grand-mère fait des affaires avec les garçons. Elle me donne un badge-bouton avec inscrit « Queen » parce que je les adore. Je suis contente. Je remonte vers la maison.

Changement radical de rêve... Je suis un garçon, un ado. Une fille est à côté de moi, elle a mon âge, 14 ou 15 ans ; ses cheveux sont blonds foncés, lisses et mi-longs. Nous sommes devant une maison genre pavillon de banlieue chic à un étage. Nous ne pouvons pas entrer. Elle me dit que « si nous pouvions voir le sapin à l’intérieur, tout irait bien. » Tout à coup, la maison se tord et bouge violemment, ses fenêtres et ses portes claquent comme des yeux et des bouches sauvages, elle ondule de partout. Mouvement de recul. Les haies de devant sont épaisses, et permettent de cacher la maison devenue dingue de la route. La fille tente de convaincre un couple de soixantenaires de « rentrer pour voir le sapin à l’intérieur, et qu’après, tout irait bien ». Mais les gens connaissent bien le problème de la maison, c’est pareil dans leur région. Ils disent qu’il y a deux solutions. Je n’écoute pas la première, elle ne sert à rien. La seconde consiste à lever la main gauche en disant « c’est faux » d’un ton clair. Lorsqu’ils font cette démonstration, la maison se calme pendant 5 secondes. Je suis dubitatif. La fille me dit que ce temps est suffisant pour entrer et « aller voir le sapin à l’intérieur ». Elle commence à me gonfler avec son sapin...

-Réveil.

Soupe trop fadeNouvel appart'

Commentaires

  • Loni, le 30 octobre 2010 à 19h54

    C'est clair qu'elle est insistante, avec son sapin !

  • fa*, le 25 novembre 2010 à 1h02

    Grave ! :-D

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