E-mail
Mot de passe
Envoi
Rêvé le 6 mars 2010 - styloplume avait 16 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis dans une salle de classe, au premier rang, à la table du milieux, mon voisin de droite est Irwin avec qui je rigole bien, à ma gauche sur la table d'à côté, une fille et sa voisine. Le cours est commencé, je prend une sorte de cahier de vacances épais, les feuilles sont bleues clair et écris sur la page de gauche, quand celle-ci est finie, je vais sur la page de droite et écris le nom d'un écrivain, mais la page est déjà écrite, je tourne alors la page, la page suivante est aussi écrite et commence à écrire sur la page de droite, mais me rend compte qu'elle est aussi écrite et que cela ne fais pas très beau. Je tourne encore la page et il y a deux pages libres.

Mon regard passe alors à ma jambe gauche, où je vois une grosse araignée ainsi que deux petite, je me lève, hurle, secoue ma jambe et tambourine le sol de mon pied pour les faire partir et me rassois. Irwin se moque bien de moi, et j'éclate de rire aussi. Ma voisine a alors elle aussi une araignée et s'en débarrasse comme je l'avais fais quelques instants plus tôt. Les araignées reviennent sur moi, je les sens dans mon dos, se glissant sous mes vêtements, je sors de la classe en criant, me tordant les bras pour faire partir les araignées.

Je passe ma main droite sous mes vêtements, mais je ne sens rien, pas de bêtes, pourtant je les sens toujours courir sur mon dos. Je reviens m'asseoir à ma place toujours avec la sensation d'araignées, disant à mon voisin que c'était une hallucination, il éclate de rire et m'envoie une bourrade sur l'épaule, nous sommes mort de rire, affalés sur la table.

Nous devons alors partir, avec ma professeur de français, je suis avec d'autres élèves dans une cours d'un vieux bâtiment en pierre, je cherche du regard Irwin mais ne le vois pas. Nous sortons et il fait presque nuit, il y a du vent et le ciel est sombre. Nous sommes devant un petit muret derrière lequel la mer est déchaînée et sale, des élèves se sont déjà jetés à l'eau, je relève mon jean sur mes mollets, pensant que l'eau n'est pas très profonde.

Je saute dans l'eau, qui est plus profonde que prévu, j'avance quand même, mais les vagues me repousse, je décide de passer sous l'une des vagues et j'arrive de l'autre côté de la rive. Je rejète mes cheveux mouillés en arrière, en les lissant au mieux pour ne pas les avoir ébouriffés. Il commence à pleuvoir quelques gouttes, je pense lever les bras au ciel, mais n'ai pas vraiment le coeur à faire du cinéma.

Ma professeur continue sont chemins, n'attendant personne. Nous arrivons vite sur un pont, la nuit est prsque là, que nous devons traverser, deux camions arrivent sur la gauche, je me recule pour ne pas être happée, laissant entre nous la largeur d'une voie, puis après les camions la voie est libre pour passer. Mais de  l'autre côté, une longue file de voiture arrive, ne nous laissant pas le temps de passer, des voitures semblent un peu plus espacée les unes des autres mais la prof ne semble pas vouloir passer. Après quelques dizaines de secondes, l'espace entre deux voitures me semble suffisant et je cours de l'autre côté de la route, les autres restent toujours là où ils sont, je leur fais signe en levant le pouce, souriant légèrement.

Une forte pluie s'abat alors, j'ai beaucoup de mal à voir à cause de ma mauvaise vue, de la pluie très forte et de mes cheveux qui sont collés à mon visage. Je sors des lunettes de la poche gauche de mon blouson, je les mets, mais cela ne change absolument rien, à part que je vois moins flou, mais la pluie brouille quand même ma vue, je les remets dans ma poche. Je plisse les yeux pour voir, les phares des voitures m'aidant à distinguer les plus gros détails, mais je peine à voir le bord de la route et celui du pont. Je rattrape la prof devant moi, qui ne ressemble pas à la prof que je pensait qu'elle soit, elle est plus grande, plus mince et m'appuie sur son épaule, prétextant que je n'arrive pas à me repérer.

J'arrive quand même à marcher sur une muraille, la prof étant loin devant moi, n'attendant toujours personne, les élèves étant eux aussi très loin les uns des autres, je marche seule et vite pour pouvoir la rattraper, j'arrive alors à la hauteur de Naomh, elle m'arrive en dessous de mes épaules, surprise par sa taille, je baisse les yeux et vois que je suis habillée avec un t-shirt gris clair que j'utilise pour faire du sport, ainsi qu'un jogging noir, nous nous trouvons entre deux mur, laissant à peine la place pour marcher côte à côte. J'essais de trouver le bon moment pour lui parler, sachant que cela faisait très longtemps que nous ne nous sommes pas vue. Mais elle ne semble pas vouloir parler alors j'accélère et continue d'avancer sur la muraille.

J'arrive à la hauteur d'une fille qui commence à me parler, devant nous un peu plus loin deux autres filles, elle me fais remarquer qu'il n'y a que des filles devant nous, en effet, il n'y a pas un seul garçon. Nous arrivons devant une cuvette, une petite forêt, avec quelques cours d'eau et sans habitations, nous passons sur la gauche de la cuvette, en contre bas, je vois une rivière. Le mur sur lequel nous sommes se fini par un labyrinthe vertical, sur lequel se trouve déjà la prof.

J'y arrive à mon tour, la prof est un chat noir, elle essaie de résoudre l'énigme du labyrinthe, elle passe sur des chiffres, qui lorsque l'on passe dessus changent de nombre, je suis aussi un chat et je croise la prof, qui me râle dessus car je modifie la combinaison qu'elle venait de faire, je garde pour moi le fait qu'elle essaie de se débrouiller seule et qu'elle n'y arrive pas.

Les pâtes bolognaiseLes plumes jaunes

Suite à une attaque de Spam, les commentaires anonymes sont temporairement désactivés