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Rêvé le 27 novembre 2009 - styloplume avait 16 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je doit être chez quelqu'un de riche, je veux aller dans une pièce, je passe par un escalier, traverse quelques couloirs et arrive dans une pièce et semble chercher quelque chose ou attendre quelqu'un. N'ayant pas le droit d'être dans cette maison, je sors de la pièce, dans un couloir, je cherche la porte par laquelle je suis arrivée, pour cela j'ouvre toutes les portes que je vois, je trouve enfin la bonne porte avec l'escalier de l'entrée.

Je sors dehors, saute à travers les massifs de fleurs et les grilles qui sont aussi hautes que moi, je les passes sant trop de difficultés, mais il y en a beaucoup et cela ne semble pas en finir.

J'arrive enfin hors de la propriété, je continu quand même ma course, et mon une colline qui est de plus en plus raide. Je ne suis alors plus seule, accompagnée par deux ou trois personnes. Arrivée en haut de la colline, une ville s'étend devant nous, dans un grand creux, il est impossible d'atteindre la ville autrement que d'escalader la colline. Je trouve la ville superbe, ses bâtiments ne semblent pas pourtant très riches mais je les trouvent très beaux.

Nous descendons sur la plage et allons jusqu'a la mer, elle est très retirée et il y a une grande bande de coquillages noirs. Je repère un nautile marron/rouge beige et je le ramasse, j'ai aussi d'autres petits coquillages1. Je me fais surprendre par une vague qui est montée vite et je manque de me faire arroser. Je me dis que la mer monte aussi vite que je cours. Ce qui est bien le cas, un peu paniquée je cours hors de portée de la mer, en direction du haut de la colline. Au passage, je remarque un autre nautile, un peu plus grand que celui que j'ai dans mes mains.

Arrivée presque en haut de la colline, je vois un autre nautile, cette fois jaune/vert encore plus grand. La mer est alors presque arrivée en haut de la colline, et manque de déborder. Je demande à un habitant comment ils vont faire, il me répond qu'ils ont des habitations en crottin de cheval pour résister à la mer, et que ce phénomène se produit souvent. Il me montre sur un calendrier que cela se passe toutes les fin de mois, or nous sommes vers le 5-10 et cela me semble dire que c'est anormal.

Je retourne dans la maison dans la même pièce, cette fois avec Lindsay, il semble être assez tard, nous nous cachons sous un lit pour ne pas nous faire remarquer, quelqu'un arrive, c'est Cherilyn, on sors du dessous du lit et je lui demande d'être discrète, à Lindsay d'éteindre l'ordinateur. Je fuis de nouveau par les jardins en passant au dessus des grilles.

Le suicide de ma mèreRetour en enfance

Commentaires

  • Loni, le 28 novembre 2009 à 17h46

    C'est sympa, les maisons en crottin, mais faut aimer l'odeur !

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