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Rêvé le 11 août 2009 - styloplume avait 15 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis dans une salle de cours et c'est la rentrée des classes. Je suis assise à côté de Irwin et d'un de ses amis et celui-ci me demande du blanco. La prof parle alors du souffre douleur de ma seconde.

Je suis alors dans une piscine sur un bateau électrique au milieu. Je suis sur le bord de la piscine avec mes tongs bleu et Irwin est en face de moi, à côté d'une cascade. L'eau de la piscine fait des vagues, comme à la mer. Il y a un plongeoir qui est très haut, voulant y aller, je monte sur les toits et je rejoins la douche.

Le principe particulier de la piscine est qu'il ne faut pas toucher par terre, il faut se débrouiller pour s'accrocher un peu partout. Je suis sous les douches, accrochée au pommeau de douche, je prends un peu d'élan en me balançant et je m'accroche à des barres fixées en haut des murs. Et j'arrive au lycée.

Toujours accrochées aux murs je me déplace en sautant entre les murs. J'arrive dans un cabinet de médecin, cette fois je ne suis plus obligée de ne pas toucher par terre. Je n'arrive pas à me souvenir du nom de la médecin, que j'ai pourtant déjà vu deux ou trois fois. Un gamin est assis à un fauteuil et je lui demande le nom de la femme, mais il ne me répond pas.

Je me retrouve au simply market en maillot de bain, les rayons sont étroits et je n'arrive pas à savoir où est la sortie. Je suis de nouveau à la piscine et je fais encore une ou deux fois le parcours de barres que j'ai fais au début. Je monte à un mur, et redescend de l'autre côté, je m'aperçois que je suis dans la douche des hommes. Je sort alors en vitesse.

Je me retrouve dans un cimetière, devant une tombe et je me pique à une plante, j'enlève l'épine et je traverse le cimetière en courant.

Je me retrouve de nouveau au simply market, l'entrée à disparue, puis je vois une petite allée presque recouverte de plantes vertes où est mon prof de math de troisième, je le croise alors que je suis en maillot de bain. Il me demande si je vais bien, je lui répond pressée que ça va.

Je me retrouve encore dans le cimetière qu je traverse en courant, un peu au ralentit. Je me retrouve dans l'avenue où j'habitais avant, je cours toujours au ralenti, je dépasse le directeur de primaire mais je fais mine de ne pas le reconnaître. Alors que je suis à une dizaine de mètre de lui, j'entend qu'il m'appelle. Je me retourne, il est visiblement heureux de me revoir, je m'avance vers lui, puis on hésite quelques instants avant qu'il me prenne dans ses bras.

Nous marchons l'un à côté de l'autre sur l'avenue, sur le trajets du lycée. Au passage piéton, sur le terre plein, je sens sur ma nuque le soleil qui chauffe. Je ne suis pas très à l'aise, car je sens qu'il est sur le point de deviner que j'ai des capacités physiques exceptionnelles, ou que je suis capable de me transformer.

Le téléphone portableFugue ratée

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