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Rêvé le 8 décembre 2012 - Pomme avait 19 ans Ajouter ce rêve à vos favoris
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J'étais dans un chemin de forêt calme et au loin je voyais un velo. Je connaissais ce vélo et je savais qu'il y en avait plusieurs sur le parcours. Je me souvenais que le premier était fixe, le deuxième était fixé au sol mais on pouvait faire tourner les pédales en restant sur place, et le dernier pouvait rouler comme un vrai vélo. Chacun d'entre eux était éloigné de quelques kilomètres. Il me semble que lorsque j'ai vu le premier des trois vélo j'étais plus jeune que maintenant parce que j'ai couru vers lui pour jouer et qu'une dame m'a retenue et m'a dit d'aller jouer ailleurs en me montrant une sorte de château un peu plus loin. Ce château, c'était un chateau dont j'avais déjà rêvé une autre fois1 et qui était un peu flippant donc je me gardai bien d'y aller et continuai sur le chemin où se trouvaient les vélos.

Moi, tout ce que je voulais c'était retrouver le deuxième des vélos parce que j'avais de bons souvenirs sur celui-ci. Finalement j'y arrivais et je m'installai. Là trois hommes arrivèrent autour de moi et s'assirent dans une disposition bizarre: comme dans une voiture tirée par des chevaux, trois en face et deux à côté de moi. Il me semble qu'il y en avait un qui me conseillait sur la manière de faire du vélo et les autres qui attendaient je ne sais quoi.

Puis, au bout d'un moment, une fille qui devait avoir mon âge est venue à la fenêtre. Je l'ai regardée un moment avant de la reconnaitre et je me suis rendue compte que c'était une trèèèès très vieille amie d'enfance.2 Je lui ai sauté dans les bras et on est parti un peu plus loin à l'abri d'un mur pour nos retrouvailles. J'étais tellement émue que j'en ai pleuré. Je me rappelle que je lui disais: "Quand j'étais petite et que je suis arrivée ici, il y avait personne et puis je t'ai rencontrée et j'étais tellement heureuse d'avoir quelqu'un à qui parler et quelqu'un avec qui jouer. Tu m'as montré le vélo, et c'était formidable." Bref j'étais heureuse comme pas permis et je pleurais dans ses bras de la retrouver.

Puis, il y avait un autre mur perpendiculaire au premier, dans lequel s'ouvrait aussi une porte. J'y allai, laissant la fille derrière moi, et me retrouvai sur une sorte d'aérodrôme, sans avions mais avec plein d'élèves de prépa. Je retrouvai deux amies proches d'il y a deux ans et je vis aussi plein d'autre gens que je connaissais de vue. Et il y avait mon prof de maths, celui que j'adore !

Tout le monde était debout et au bout d'un moment on nous dit de nous assoire. C'étaient des petites tables de trois ou quatre et je m'assis avec mes deux amies. Nous étions censées travailler et réviser mais j'avais peur de ne pas y arriver. Puis le prof venait vers moi et j'étais toute intimidée. J'avais toujours ce même sentiment que dans un autre rêve3 : je voulais qu'il soit fier de moi, je voulais lui dire que j'avais réussi à entrer en école d'ingénieur même si j'avais loupé la prépa, mais je n'arrivais pas à le lui dire, les mots ne sortaient pas, pourtant je voulais lui parler à tout prix. Et finalement il me demandait pourquoi je ne m'étais pas encore mise au travail et je me dépêchai d'ouvrir tous mes cours et exos, mais toujours sans rien dire pour autant. Et finalement il repartit voir un autre groupe sans que je n'ai eu le temps de lui parler.

Et je me suis réveillée, dépitée, mais quand même toujours sous le coup de la joie de l'avoir vu.

Dans mes rêves je ressens les émotions beaucoup plus intensément que quand je suis réveillée, j'ai l'impression. Par exemple pour la fille qui n'existe pas en vrai mais dont j'étais très proche dans ce rêve, c'était whaou ! C'était de l'amitié, de l'affection tellement intense que j'en pleurais. Je me rappelle que ça me gonflait de cœur à en faire mal tellement j'étais heureuse de la voir. C'était vraiment de l'amour affectueux si on peux dire ça comme ça. Ou même de l'amour tout court, je ne sais pas. mais c'était vraiment très fort.

Lapin et éléphantsPréparation pour un mariage

Commentaires

  • Loni, le 10 décembre 2012 à 14h35

    Effectivement, comment tu décris le sentiment, ça avait l'air exceptionnel !

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