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Rêvé le 17 mars 2009 - PierreBunk avait 26 ans Ajouter ce rêve à vos favoris
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Je me retrouve, je ne sais comment, dans un petit pavillon que je ne connais pas. Tout est très exigü et assez peu éclairé. Je suis dans le salon, dont je ne vois qu'un angle du mur, sur mon côté droit est mis un canapé 1 sur lequel sont assis quelques-uns de mes oncles et tantes.

J'arrive en faisant la bise à Jasmine, qui est assise en face de moi, je continue donc, dans une galanterie un peu exagérée, de faire la bise aux dames (Tata Zazie et Maman), avant d'aller saluer mes oncles (Jake et Marvin), même si c'est en leur passant un peu dessus. Tout le monde est de très bonne humeur.

Après avoir fait la bise à tout le monde sur le canapé, je remarque que, dans le fond de la pièce, sur un fauteuil, se trouve mon Grand Père. Je suis très surpris de le voir là, vu qu'il est décédé en 92. Je lui fais la bise, un peu choqué mais heureux de le voir.

Il décide que la bise, c'est pas assez pour des retrouvailles pareilles et se lève à moitié de son fauteuil pour me prendre dans ses bras pour une embrassade plus de circonstance. Là, dans son cou, je ne sens pas l'odeur d'eau de cologne de mon grand père, mais juste une joue fraîche et un peu piquante, comme celle de mon père. J'entends demander 2 si c'est bien le genre de fringues que mon grand père portait. Et là, je comprends que ce n'est pas mon grand père que je tiens dans mes bras, mais son frère, "Parrain". En me rendant compte de la supercherie, je me mets à pleurer dans son pull, comme si je faisais deux têtes de moins que lui 3 en lui disant en pleurant qu'il est con de me faire un coup pareil.

Le truc c'est qu'à aucun moment, je n'en ai voulu à qui que ce soit. J'étais juste très heureux de le revoir et de revoir mon grand père, d'une certaine façon.

Bien qu'à aucun moment elle n'apparaisse dans les souvenirs visuels que j'ai de ce rêve, je sais que ma Grand Mère est avec nous au moment ou je pleure, la tête enfouie dans le pull de Parrain.

Le jeu de la mort

Commentaires

  • Loni, le 17 mars 2009 à 11h56

    Dis-donc, il t'a marqué, notre canapé !

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