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Rêvé le 29 novembre 2009 - PierreBunk avait 27 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis dans une grande salle. Il y a une espèce de damier à carreaux au sol. Il y a aussi plusieurs boules de couleurs. Une rouge, deux gris-vert et une violette. Tout ça ressemble à une épreuve de Fort Boyard. J'essaie plusieurs combinaisons avec les boules, mais le damier est trop grand et est mou, ce qui fait que je dois poser le pied dessus pour placer une boule, ce qui a pour effet de bouger instantanément les autres boules. Tout est en mousse, rien n'a de poids, rien ne veut rester à sa place. 

Je sens que je suis à court de temps, et j'entends des gens qui me disent d'acheter la boule violette, je suis le conseil et je crie que je l'achète. Je la soulève et, alors qu'elle était aussi mobile que les autres, elle se retrouve accrochée par du velcro au damier. En dessous, je trouve un vieux nokia. Je m'en sers pour appeler les organisateurs.

Je passe à la salle suivante, il y a une espèce de galerie qui fait le tour de l'étage, mais au centre, il n'y a rien que le vide. Quelqu'un au téléphone me dit d'attendre deux minutes. Un panneau en bois sur le mur se met en branle et commence à se déplier et à former un escalier. Je me dis que je devrais montrer ça à 1* . Je commence à le descendre (mais je suis désincarné, ce sont mes actions, mais je les regarde du haut de la rambarde, en témoin), mais tout est trop lent. Je commence à glisser sur les rampes et à descendre des volées de marches entières. Mais je vais trop vite et l'escalier n'apprécie pas, il commence à se rétracter vers le haut, ce qui m'oblige à  remonter. Je décide de sauter du haut de l'escalier et de descendre les 5 étages en frottant mes mains sur un mur pour ralentir ma chute.

Toujours en regardant la scène en spectateur, je suis impressionné. Puis, je réintègre mon corps.

Je suis sorti du bâtiment, comme si je devais le longer en passant par l'extérieur pour rejoindre l'épreuve suivante. Je ne vois personne et ne suis plus en contact avec qui que ce soit. Je tombe sur une nana, qui a l'air entre la jeune Gothique boulotte et la nana du film Bagdad café. Elle a une sorte de sécateur planté dans le cou.  Je me dis que c'est normal, comme le jeu est dangereux, il est réservé aux suicidaires. Elle devait faire partie des participants et ne pas finir et a donc tenté de se suicider. Elle retire le sécateur de son cou et le plante dans le mien, le retirant tout aussi vivement. Je me dis qu c'est dommage, si elle l'avait gardé, elle aurait peut-être pu survivre jusqu'à l'arrivée des secours.

J'attrape une serviette éponge blanche et la laisse là. Je me fais une compresse de la serviette et j'appelle les organisateurs avec le téléphone que j'ai trouvé sous la boule violette. Je leur demande de m'envoyer du secours et que, vu ma prestation exceptionnelle, la suite de l'émission soit reportée jusqu'à ce que je me remette de mon coup de sécateur.

* On avait vu l'imaginarium du docteur Parnassus, hier, il y avait plein de mécanismes en bois comme celui-là.

Au final, ce qui est le plus étrange, c'est l'absence totale de peur et de sentiments (de haine envers la nana au sécateur, par exemple), qui rend le truc encore plus étrange.

Réunion de FamilleBrad Pitt aime l'attention

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