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Rêvé le 6 août 2012 - Nothishade avait 26 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

 

Je suis toujours dans le bungalow, en compagnie d'Amelia cette fois. L'extérieur a une nouvelle fois changé. Le paysage est maintenant une montagne verdoyante avec de grandes forêts de cônifères. Il y a quelques petites maisons accrochée à la montagne. Je dis à Amelia de regarder, comme c'est joli. Nous sommes émerveillés par le paysage doux et vert et le ciel chargé de promesses de pluie1.

 

D'une manière ou d'un autre, je prends partiellement conscience que je rêve. Toutefois, mes facultés ne sont pas bonnes : je dis à Amelia de s'en mettre plein la vue dans ce rêve et de garder les images à son réveil.

 

Je décide de sortir un peu pour visiter ces lieux oniriques. De l'autre côté du bungalow, celui que nous ne voyions pas par la grande baie vitrée du salon, il y a un petit nombre de grands bâtiments d'une dizaine d'étages chacun. Construits au beau milieu des montagnes. Toutefois, ils ne jurent pas dans le paysage, ils me donnent l'impression d'être dans une station de ski peu fréquentée en été. Il y a une petite place principale, autour de laquelle les bâtiments on été construits quasiment en demi-cercle, et de petites rues. Mais tout est quasiment désert.

 

Il y a un panneau lumineux accroché au mur du rez de chaussée d'un des bâtiments. Les diodes oranges forment l'inscription « Chine : 17h01 ». Je me dis que je vais retenir cette information pour mon journal de rêve.

 

Je parviens à lire un autre panneau, à l'entrée de la place principale, sur lequel est écrit « Castevon ». Je comprends qu'il s'agit du nom de l'endroit. Cela ne me dit rien, mais ça fait très village de montagne, ça me va. Je me force à retenir cette information pour vérifier si ce village existe, à mon réveil.

 

En regardant un peu mieux les bâtiments, je me rends compte que ceux-ci sont littéralement recouverts de panneaux, d'enseignes, et d'affiches de toutes les couleurs, certaines avec des néons, comme dans les grandes villes asiatiques. Je ne sais plus où donner de la tête, et ma vision s'affaiblit, jusqu'à ce que...

 

je me réveille.

 

Le bungalow 2 : Le caniche-gatorLa forteresse de la montagne qui n'existe pas

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