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Rêvé le 1er février 2012 - MagicEtincelle avait 22 ans Ajouter ce rêve à vos favoris
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Je me rappelle le début de ce rêve. Je suis dans une maison en forme de grand cylindre. Je suis au dernier étage, dans une chambre coquette avec plusieurs lits. Dans ma tête, cette maison appartient à une sorte de famille d’accueil chez qui je suis allée plusieurs en fois en colo durant mon enfance et où je reviens faire une visite à l’âge adulte1. Je descends à l’étage en dessous pas un escalier en bois en colimaçon, qui arrive en plein milieu de la pièce. Un autre escalier permet descendre à l’étage du dessous, qui mène aux autres parties de la maison. A cet étage, je me rappelle que c’est la salle de jeux. Elle est ronde aussi et lumineuse. Mais il y a deux couloirs qui se font face. Ils sont tous les deux totalement vides et au bout de chaque on voit un renfoncement sur le côté, comme une cachette.

Je vois deux enfants en train de jouer justement, à un jeu fameux et particulier de cette colo. Pour moi, c’est ce jeu qui en avait fait tout son intérêt. Il m’avait été enseigné dès le premier jour de mon arrivée dans la colo étant petite. Je vois une des enfants, une petite fille noire, debout, au-dessus de son amie recroquevillée à ses pieds, qui joue une personne inconsciente, en train de faire des grands gestes avec ses bras. Elle pratique comme un grand demi-cercle au-dessus de la tête, tout en récitant un sorte de formule magique. La formule ressemble au vers d’un poème du style « Vents et marrées, et autres forces naturelles, je vous suis grée, de par le feu m’aider ». Enfin c’est pas ça mais c’est l’idée. En gros la formule explique le sort qui est sensé s’appliquer. Là, la fillette invoque le feu. Un de ses bras s’immobilise, pointant à moitié vers le ciel et l’autre s’aligne sur celui-ci mais fait des allers et retours comme si elle pompait. Alors au bout d’un moment, des étincelles de feu sortent au bout de son bras immobile, au rythme du pompage. Je suis enchantée et très étonnée puis à la vision du ‘sort’ je me remémore que moi aussi, je savais le faire avant, et la formule utilisée me parait familière. Je suis persuadée que je n’en suis plus capable mais je me souviens qu’il y avait entre une dizaine et une quinzaine de sorts du même genre, avec formules étranges et gestes associés.

Les petites filles rient et semblent s’amuser. Bien que les sorts soient impressionnants, ils semblent inoffensifs. Elles lancent à tour de rôle un sort. Je me rappelle que si on lançait bien un sort à chaque tour, il était impossible de perdre et que c’était un des avantages du jeu : à partir du moment où on retenait les formules et les gestes sans s’embrouiller pour former un sort, il était impossible de perdre 2.

Alors une jeune femme arrive. C’est la monitrice de colo à présent, celle qui est censée enseigner le jeu. Elle me propose de la défier dans un combat amical. Au début je refuse mais alors que j’observe les 2 enfants jouer, je me rends compte que tout me revient en mémoire au fur et à mesure. J’accepte alors.

Je vais au fond d’un des couloirs, dans le renfoncement et attends le signal du départ. La femme se rend dans celui opposé. Nous commençons à nous battre, nous lançant des sorts à tours de rôle quand je veux lancer un sort d’immobilisation. Il se caractérise par une boule lumineuse qui grossit petit à petit dans ma main et une fois bien grosse, il faut la lancer sur son adversaire. Seulement je ne suis pas assez patiente et je la lance avant qu’elle ait atteint sa taille maximale. La jeune femme, qui s’élançait pour me sauter dessus, s’arrête en plein vol, mais une seconde plus tard, elle est débloquée et finit sa course. Le sort n’était pas assez puissant et n’a pas marché. Voyant mon erreur j’essaie de le relancer mais elle est trop proche de moi à présent pour que la boule ait le temps d’atteindre la bonne taille. De plus, je me rends compte que j’ai raté mon sort et que pour la première fois de ma vie, je vais donc perdre à ce jeu.

Je ne sais plus exactement ce qui se passe mais je me réfugie dans le couloir du départ. Tout le passage qui suit est assez flou et constitue malheureusement en la plus grosse partie du rêve. Je ne me souviens que de la fin, où je suis devenue spectatrice du rêve et où j’assiste à la bataille de 2 hommes-fées, avec les mêmes sorts et dans le même lieu apparemment, bien que la maison semble maintenant construite en bois et dans un  arbre immense. Ils sont tous les 2 célèbres dans le royaume des fées (où apparemment se déroule le rêve maintenant). Celui qui semble être le ‘héros’ du rêve a les cheveux châtains et courts alors que l’autre a les cheveux plutôt longs et noirs 3. L’un des deux est le fils du roi, celui qui ressemble à Murtagh.

L’un des hommes, appelons-le Eragon,  n’est pas un homme-fée à proprement parlé, mais un simple humain qui a passé son enfance dans le pays des fées et qui, à l’âge adulte est revenu en en ces lieux4. Quand il est dans le pays des fées, il est comme eux et possède leurs pouvoirs, c’est-à-dire qu’il a de grandes ailes transparentes aux reflets dorés comme eux et le pouvoir d’utiliser leur magie 5. Il est en train de combattre son ami d’enfance. Il me semble qu’ils ont un autre lien familial, comme demi-frères ou quelque chose du genre. En tout cas ils se considèrent comme des frères. Alors qu’Eragon est la bonté incarnée, celui qui ressemble a Murtagh a toujours été vu depuis sa tendre enfance comme une personne maléfique, bien que ses amis et notamment le type de ressemble a Eragon sachent que ce sont de fausses accusations 6.

Le combat est interrompu et d’autres fées, ressemblant tous aux elfes blonds du Seigneur des Anneaux avec des ailes arrivent, pris de panique. Ils annoncent avec effroi qu’ils ont découvert qu’un traitre était parmi eux et conspirait contre le bien-être du peuple. Evidement personne ne bronche mais tous suspectent leur prince, celui qui ressemble à Murtagh. Eragon est persuadé qu’ils font fausse route et les encourage à mener une enquête approfondie. Il repartent alors dans la direction de leur arrivée.

Par la suite il relance un combat amical avec Murtagh. Je vois le rêve à travers les yeux d’Eragon. Il y a deux autres fées qui interviennent de temps en temps mais qui restent néanmoins en arrière-plan du combat, dont le Roi lui-même (il ressemble à un elfe aussi,  avec toute sa dignité et sa sagesse). Je ne sais plus exactement ce qui se passe mais les attaques du combat sont très violentes et dangereuses, bien plus que d’habitude. Eragon (je ?) identifie alors de que le traitre est malheureusement parmi eux et ses doutes se portent sur le roi lui-même 7. Il en est convaincu en regardant ses ailes. Elles sont particulières et respirent la magie noire (en apparence elles n’ont rien de particulier mais bon…). Il s’emploie à le mettre KO afin de le faire prisonnier et montrer sa traitrise aux yeux de tous quand ils seront revenus.

Malheureusement, lui et Murtagh tombent tous les deux inconscients. Quand il (je suis lui le temps de son réveil pour redevenir spectatrice par la suite) se réveille il voit tout flou puis sa vision s’éclaircit. Le roi est au-dessus de lui, très inquiet. Il s’inquiète de sa santé. Il lui explique que Murtagh est le traitre et qu’il l’a mis KO. Il ajoute qu’il est heureusement neutralisé à présent. Eragon est étonné, ce n’est pas le souvenir qu’il en a. Le roi lui dit qu’il ne doit pas avoir les idées bien claires.

Avec stupeur, il voit Murtagh étendu par terre, les ailes maléfiques dans le dos. Le roi les lui désigne et lui explique que c’est une preuve de sa traitrise. Eragon est tout étonné, il est persuadé de les avoir vues dans le dos du souverain. Le roi prend Eragon dans ses bras et le réconforte en lui disant un truc du style ‘Je suis désolé, je sais qu’il comptait beaucoup à tes yeux et que tu ne l’en aurais jamais cru capable malgré les apparences’. Alors qu’Eragon ne regarde pas, le roi a alors un sourire sournois. Cependant Eragon a toujours des doutes : il connait Murtagh depuis sa tendre enfance et connait l’apparence de ses ailes par cœur, or celles-ci ne leur ressemblent pas. Il soupçonne le Roi d’avoir interverti leurs ailes, à lui et son fils, pendant sa perte de conscience.

Alors qu’Eragon songe à la malveillance du roi, je me réveille et je m’empresse d’écrire mon rêve avant de l’oublier.

 

[Fragment] La PlageLe spectacle comique

Commentaires

  • Loni, le 3 février 2012 à 22h04

    Très sympa ! J'aime beaucoup l'image que je me fais de la petite fille qui "pompe" avec son bras pour faire venir la magie ;)

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