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Rêvé le 14 février 2012 - MagicEtincelle avait 22 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis avec Floflo, nous sommes sur une sorte de parking très vaste en plein milieu d’une grande ville avec des rues et des immeubles tarabiscotés. Je dirais que ça fait un peu futuriste à part le fait que les matériaux et l’état des bâtiments montre qu’ils ne sont pas tout neufs.  On met quelque chose de très lourd dans le coffre de la voiture. Ça nous encombre énormément et on ne peut passer par les routes normales. On peste un peu car ça nous fait du trafic en plus et il fait une chaleur torride. La chaleur se ressent même dans la couleur prédominante à ce moment : tout semble orangé et on voit des mirages de chaleur sur les contours des bâtiments au loin.

Ma sœur conduit et on a du mal à trouver notre chemin, en plus la voiture ne semble pas réagir comme d’habitude et est dure à diriger. En quittant le parking, nous longeons une immense avenue, bondée de voitures qui passent à toute allure qui qui tournent dans les nombreuses rues perpendiculaires.  C’est le grand n’importe quoi. Cette rue, bien que mal entretenue comme toutes les autres rues, semble être réputée : nous longeons une cathédrale/université genre Oxford, en Angleterre. Mais elle semble faite de pierres oranges et les bâtiments sont négligés, presque délabrés. A la fin, on se perd et nous nous retrouvons devant un immense péage, en plein milieu de la ville, qui nous ait interdit avec la charge de la voiture.  Il est construit sous un pont. Nous sommes obligées de faire demi-tour si on veut éviter les ennuis. Mais comme nous avons déjà assez perdu de temps et qu’on en a marre, on passe quand même. Seulement, quelques mètres après, la voiture rend l’âme, poussée trop à bout. Floflo a juste le temps de la garer sur le côté, une sorte de terrain vague, sous le pont. Le quartier ressemble à ceux malfamés de grandes villes dans les films américains, là où se réunissent les dealers et les petites racailles. Il me fait un peu penser à l’ambiance dans la série Dark Angel.

On sort pour voir l’étendue des dégâts quand on voir un policier au loin qui va dans notre direction. C’est la panique, cet endroit nous est normalement interdit. A ce moment-là, un jeune couple d’une vingtaine d’années vient à notre rencontre. Ils ont l’air charmant et nous sourient. Ils proposent de nous aider à sortir du pétrin. Ils se présentent : la fille s’appelle Ann-Mary Jane (Jane est son nom de famille ^^) et le jeune homme a un nom très étrange dont je ne me souviens plus exactement, avec des consonances dures. On dirait le nom d’une créature de jeux vidéo. Surk’kun ou un  truc du genre. Bref très étrange.

Ils nous proposent gentiment si on veut les accompagner pour pas que le flic nous trouve. Ils connaissent bien le quartier. On les suit donc dans un dédale de rues un peu post-apocalyptiques. Sur le chemin nous discutons bien. Ils sont très sympathiques mais on comprend que SK(le nom du jeune homme en abrégé ^^) est une sorte de petit truand ou en tout cas connu des services de police et qu’il a un train de vie qui n’est pas à conseiller. Il nous parle de ça comme si ça n’avait aucune importance. Il n’en a ni honte ni ne s’en vente. Comme s’il ne fallait pas le juger sur ça. D’ailleurs il est très agréable de discuter avec lui et il est amical, ce qui fait qu’on lui donne plutôt raison.

Alors que SK est devant, je discute avec AM (la fille ^^). Elle est très mignonne et semble très bien élevée et de bonne famille. D’ailleurs elle m’explique que quand elle a rencontré SK ça été le coup de foudre mais que sa famille et ses amis n’ont pas du tout approuvé à cause de sa sale réputation. Elle me dit aussi qu’ils le pensaient dangereux. Elle a donc rompu les ponts avec toutes ses anciennes connaissances et est allée vivre avec SK. Bien qu’ils ne viennent pas du tout du même milieu et qu’ils n’aient pas grand-chose en commun au début, avec le temps ils s’accordent de mieux en mieux. Elle m’explique qu’il a en effet un passé assez rude mais que même si c’est apparemment dangereux de le fréquenter elle est restée avec et sait qu’il ne lui arrivera rien car il l’aime. Elle me rassure en disant que depuis qu’ils sont ensemble il a bien changé  de toute façon et qu’il s’améliore. Bref, je reste septique mais je ne montre rien car ils se sont montrés charmants. Je m’étonne tout de même que son style de vie sans foi ni loi ne la gêne pas.  Mais ce que je retiens aussi, ce qu’elle a avoué à demi-mots, c’est  qu’elle est sa complice sur des petits coups. Elle avoue qu'il n'a pas encore abandonné toutes ses vieilles habitudes mais qu'elles sont maintenant mineures.

Nous entrons dans un vieux bâtiment délabré du quartier pauvre. Il s’agit d’un fumoir ou une sorte de repaire de mafieux. Avec Floflo, on ne se sent pas du tout à notre aise, pourtant ils nous présentent à leurs amis comme des vieilles connaissances. Les amis en questions sont en train de jouer aux cartes sur une table verte et fument de gros cigares.

Plus tard, dans une salle en bas, nous dansons en boite, pendant peu de temps. Les lumières sont dans les violets. Le jeune couple nous invite à venir faire un tour chez eux. Après ce qu’on a entendu et vu, on a un peu la trouille et nous redoutons nous être fourrées dans une mauvaise passe, même s’ils paraissent très gentils. On refuse poliment. Il insiste. On trouve mille et une excuses et finalement on arrive à s’échapper.

En parant, on rentre chez nous et on y retrouve BdN et Danseuse. Ils nous sortent un journal sous les yeux. En gros titre, on y parle d’un tueur et de sa jeune complice. Leurs noms sont ceux du jeune couple rencontré. Il y a même une photo de lui, tout souriant, très fidèle à lui-même. Il se sert surement de son bagou pour appâter ses victimes. On leur parle avec angoisse de notre rencontre et de la probabilité qu’ils nous considèrent maintenant comme des amis et qu’ils reviennent vers nous. On a peur qu’il nous tue sans crier gare ou qu’on soit mêlées à une affaire sans le savoir.

A ce moment ils sonnent justement à la porte. On leur ouvre, on ne peut pas les ignorer, et puis surtout on a peur pour la fille, qui ne semble pas se rendre compte que son copain a replongé dans l'assassinat. Elle ne semble pas réaliser le danger.

Quand ils entrent, ils sont toujours aussi cool. Mon père, qui était à l’étage apparemment, descend et vient nous rejoindre. Il est au courant de tout poutant il joue le jeu et ne montre rien. Dédé propose une partie de jeu vidéo à SK. Le système jeu vidéo très réaliste. Au début de la partie ils sont ‘téléportés’ dans le monde virtuel, bien qu’ils aient l’apparence du personnage qu’ils ont choisi. On suit la partie à l’écran. Les décors ressemblent trait pour trait à la ville du rêve en version électronique.

Les autres disparaissent dans les étages mais je continue à suivre la partie (qui dure très peu de temps en soi). Mon père gagne et à la fin il peut choisir le ‘sort’ du perdant. Par défaut l’écran affiche ‘se réincarner’ ce qui veut dire revenir tous les 2 dans la vie réelle au point de départ. Mais je vois que le menu déroulant s’ouvre, mon père préférant une autre option : ‘l’envoyer errer’, c’est-à-dire, il se réincarne mais à un endroit aléatoire, ça peut être n’importe où dans la ville. Je salue l’idée de mon père qui est  « d’éloigner le danger ». Ca nous laissera le temps de dire la vérité à la fille et de la raisonner.

Il va voir les autres et leur annonce ce qu’il a fait. A ma grande surprise, ils sont outrés. Il trouve qu’il a agi comme un couard et que ça ne se fait pas de faire des coups dans le dos de cette manière.  La fille part en larmes. Je n’ose pas dire que je trouvais son idée géniale vu la réprimande que mon père vient de se prendre 1. Les autres essayent de réconforter la fille mais ils redoutent qu’après le coup que vient de faire mon père, elle ne les écoute pas. Je redoute de mon côté que son copain nous retrouve et revienne très vite et que, dans une colère folle, nous tue tous.

 

Les chats de Queen JulianLe feu

Commentaires

  • Loni, le 20 février 2012 à 10h52

    Fallait pas t'attendre à ce que quelqu'un qui vous aide à échapper à la police soit un ange non plus ;)

  • Loni, le 20 février 2012 à 12h20

    Et je me demandais aussi : les abréviations des prénoms, c'est de toi ou c'était déjà dans le rêve ?

  • MagicEtincelle, le 20 février 2012 à 18h39

    Nan c'est de moi ça j'ai trop la flemme de les écrire en entier XD en plus je ne suis pas sur du nom du mec. Mais je suis pratiquement certaine qu'il commence par un S, qu'il y a un apostrophe et un K, d'où l’abréviation XD
    Bah c'est sur que ça pouvait as être des anges mais dans le rêve la police était un peu dans le genre corrompu et "je te mets des lois à la cons pour bien te baiser qd tu t'y attend le moins" XD

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