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Rêvé le 17 mars 2013 - MagicEtincelle avait 23 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis dans une rue riche  genre Beverly Hills avec des jets d’eaux.  Je me promène avec Floflo. Je croise sur un petit pont un homme aux cheveux blanc qui doit avoir 50-60 ans et sa femme, une  jeunette blonde très jolie d’environ trente ans. Ça se voit que c’est des riches et je me fais la réflexion qu’elle l’a épousé pour son argent. Floflo me dis que c’est Bill Gates et sa femme. Je lui dis que je ne l’ai pas reconnu 1 et ajoute que quand j’étais à LA 2, j’avis croisé dans la rue Keanu Reaves et Johnny Depp avec Vanessa Paradis 3.

A un moment on arrive devant un hôtel luxueux et je rentre à l’intérieur. Du hall je dois me rendre au restaurant. Je m’engage dans un large couloir très sombre avec un tapis rouge. Au bout : un grand escalier avec tapis rouge aussi qui monte et donne sur une pièce que je ne vois pas et qui est plongée dans le noir. La montée est éprouvante et c’est une véritable épreuve. En haut j’arrive dans un autre couloir sombre, mais plus étroit. A un moment il y a une alcôve avec dedans une cage immense remplie de souris blanches.  Et derrière cette cage, le mur n’est pas recouvert de papier peint mais c’est une vitre qui donne une un terrarium géant : à travers la vitre je vois qu’il est haut de plusieurs étages. Je suis étonnée mais je continue mon chemin vers le restaurant.

C’est un restaurant chic, genre 4-5 étoiles. Je vois une table avec deux hommes déjà installés. Je sais que je dois manger avec eux. L’un d’eux ressemble à un homme d’affaire et l’autre est miteux : il porte un pull vert qui se détend, style tricoté main par mamie et il a des tics. Il ne se sent pas à l’aise et pas dans son élément. Ce qui vu, le décor ne m’étonne gère ! Quand je m’installe l’homme d’affaire dit qu’ils vont enfin pourvoir commencer leur magouille : en fait je ne sais plus pourquoi mais les deux hommes sont des escrocs qui veulent embobiner et présenter un contrat bidon à un couple de riches qui va arriver d’ici peu. Le ‘faux’ homme d’affaire a réussi à les convaincre de signer le contrat autour d’un repas. Je crois que je suis leur associée même si je n’approuve pas. Mon rôle est flou. En attendant leur arrivée le faux homme d’affaire réprimande son associé au pull vert en lui disant qu’il n’est pas crédible dans cette tenue et que les ‘clients’ risquent de leur filer entre les doigts comme les fois précédentes par sa faute. Je ne peux m’empêcher de penser qu’il a bien raison ! Je commence à m’impatienter.

Le couple de riches arrive. Je ne me souviens plus trop de l’homme à part qu’il faisait grand chef d’entreprise mais sa femme est habillée avec une robe de soirée rose à paillettes et elle porte plein de bijoux, d’accessoires et de fanfreluches. Elle fait femme riche qui le montre mais est aigrie et condescendante avec les autres. Et pour ne rien arranger elle a un petit yorkshire en laisse qui n’arrête pas de japper. Mon rôle est apparemment d’amadouer la femme. Ce n’est pas une mince affaire, elle est odieuse !

Finalement, à ma grande surprise, le couple semble tomber dans le panneau. Mais la femme se plaint de je ne sais plus quoi à propos de son chien et je suis chargée de régler le problème : il faut en fait que je retrouve une clé en or qui se trouve dans le bâtiment 4.

Je pense tout de suite à la cage aux souris. Je me lève en vitesse mais quand je sors du restaurant, je ne suis pas dans le petit couloir sombre mais dans le hall d’entrée du bâtiment, comme par magie. Je comprends que c’est une épreuve et que je dois tout refaire : traverser le couloir sombre qui me fait froid dans le dos, remonter l’escalier et je suis à bout de forces et finalement je me retrouve devant la cage des souris. Je l’ouvre et je plonge ma main à l’intérieur pour saisir un rongeur. Elles se mettent toutes à couiner et à se faufiler entre mes doigts. Finalement j’arrive à en saisir une que je lance contre la vitre du terrarium. Comme par magie celle-ci disparait et l’accès est ouvert. Sans avoir eu le temps de faire un mouvement, je me rends compte que toutes les souris de la cage sont sorties et se précipitent vers le terrarium dont l’entrée est libre à présent. Elles se faufilent entre mes jambes et ça me déstabilise : je finis par tomber et basculer dans le terrarium ! J’arrive dans les copeaux, les souris grouillant autour de moi.  Devant mes yeux, la clé ! Je m’en saisis.

Là c’est comme si j’étais dans un niveau de jeux vidéo.  Quand je me relève je vois des petites pièces d’or en suspension dans les airs que je dois récupérer. Je les ramasse en « passant » dessus. Là je suis dans un niveau genre Rayman 2 : je dois sauter sur des plateformes qui flottent sur l’eau, éviter des montres, etc. Je suis dans un monde genre « lagon ». Plusieurs autres personnes font le chemin avec moi, comme si eux aussi, ils participaient au jeu vidéo. Il y a notamment Dédé et Floflo. A un moment je vois, hors d’atteinte sur un petit ilot, un « 10 vies » lumineux. Vu la distance, je me dis qu’il est impossible de l’atteindre en sautant. Floflo m’encourage quand même de le tenter car si c’était inaccessible, il ne serait pas là. Je lui explique qu’à mon avis à ce stade du jeu, on ne peut pas l’atteindre : il faudra attendre le moment où on aura le super-helico, comme dans Rayman 2 ! 5 Des gens essaient de l’atteindre en sautant mais il tombent dans l’eau et se dématérialisent : ils ont perdus.

Au bout du niveau, il y a une caverne. J’y entre et de l’autre côté je débouche sur un souk/ grand bazar comme il pourrait y en avoir dans les pays du Maghreb. Des vendeurs à la sauvette crient pour qu’on achète leurs babioles.

Mumu est à côté de moi. Elle me dit qu’elle a décidé que ce souk ferait finalement partie de la fin d’une étape du rallye qu’on est en train d’organiser 6. C’est alors que je remarque que les étalages sont en fait agencés sous des arches sculptées venant des siècles passés et qui tombent en ruines. Sur certaines arches, il y a des très jolis bas-reliefs et je me dis que ce n’est peut-être pas une si mauvaise idée. 

Prise de vue et oeuvre d'artCarnage !

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