E-mail
Mot de passe
Envoi
Rêvé le 24 novembre 2012 - MagicEtincelle avait 23 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis une la place d’une ville. Je suis avec le groupe avec qui je participe à des rallyes 1 et justement nous sommes en train de repérer un parcours dans cette ville pour y organiser le prochain rallye 2. Sur la place il y a un arbre gigantesque, dont le feuillage occupe une grande partie de l’endroit. Il est possible de grimper dessus et c’est même un des intérêts de la ville. A ses branches, immenses et très hautes, pendent des chaises, des balancelles, ou toutes sortes d’objets, comme des ballons de baudruches de couleurs, des tables, de la vaisselle, des bouteilles en verre. Bref tout et n’importe quoi, c’est un véritable musée vivant. Cet assemblage, avec les rayons du soleil entre les feuilles, donne une luminosité incroyable.

Il y a un petit garçon, de 5 ans environs, en train de crapahuter dans les branches. Sa mère est à sa recherche. Il s’installe sur une des chaises, suspendues grâce à une corde au branche, et comme dans le manège des chaises volante, l’arbre se met à tourner. Le petit garçon est fou de joie mais il faut le récupérer. Nous nous y mettons tous pour aider la mère. Je monte au sommet de l’arbre par un ascenseur et j’arrive sur une plateforme en haut avec une vue incroyable sur la ville et ses clochers. De la plateforme partent des branches sur lesquelles on peut marcher (ou ramper suivant le niveau de confiance) tellement elles sont larges. Elles mènent aux objets suspendus. Il y a même des Parre selles et poutres en fer qui traversent de part et d’autre l’arbre pour rejoindre d’autre endroits du feuillage. Sur l’une des poutres, parant de l’arbre et finissant par relier un poteau électrique à l’extrémité de la place, je vois le petit garçon qui trottine. Je le rejoints à quatre pattes sur la poutre. Vers la fin elle est plus fine et je décide de m’en servir plutôt comme tyrolienne : je m’accroche à la poulie sous la poutre 3 et me laisse glisser en attrapant l’enfant au passage.

Arrivée en bas, je le rends à sa mère, rassurée. Elle et l’enfant, montent dans une montgolfière multicolore posée sur la place et ils décollent, au-dessus, de l’arbre, au-dessus de la ville. Je suis soulagée de les voir s’éloigner : je n’aurai plus à courir partout pour retrouver l’enfant qui avait l’air sacrément casse-cou.

Ellipse

Nous continuons à repérer la ville pour le rallye. Je suis chargée de repérer des particularités à prendre en photo et à faire retrouver aux participants 4. Nous sommes dans une grande rue, bordée d’une grande grille noire, avec derrière un manoir imposant. La rue passe sous une arche naturelle : là aussi un arbre immense ; l’arche est le passage entre ses racines. Sur le tronc immense, je distingue comme la forme d’un visage, un peu comme Grand-mère Feuillage dans Pocahontas.

 Sous l’arche, plutôt un tunnel, vu qu’on ne voit pas l’autre copté, il y a plein de sculptures magnifiques réalisées dans le bois des racines. Des choses abstraites, dans des styles de tous les siècles, des visages, des scènes comme des BD même. Je me rappelle particulièrement un petit hibou dans un renfoncement, très dur à repérer. Je me dis que c’est une photo idéale. Il y a des flambeaux au mur. Le passage entre les racines de l’arbre n’est pas direct : il faut serpenter dans cette sorte de terrier, descendre des marches, en remonter. Dans ce dédale, il y a des objets derrière des vitres, sur de présentoirs, comme dans un musée. A un moment, il y a même un tapis rouge au sol. Je prends plaisir à regarder toutes ces curiosités.

Je prends plaisir à explorer ce repère incroyable et farfelu. J’ai l’impression de me trouver dans un monde imaginaire, digne d’Alice aux pays des merveilles.

En ressortant de l’autre côté, je vois l’arbre s’agiter comme s’il était vivant : je vois en effet son visage s’animer et une voix rauque et cave retentit alors qu’il se met à parler.

QuestionnementsDans un train

Commentaires

  • Pomme, le 25 novembre 2012 à 12h53

    Oh, ça a l'air plutôt chouette comme rêve, mais après ça dépend de l'ambiance : il peut y avoir des rêves en apparence agréables mais super flippants, et d'autres où on se sent à l'aise même si on est à un endroit dangereux.
    En tout cas l'arbre de ce rêve était assez "autonome" et particulier. J'adore la description du début.

  • MagicEtincelle, le 25 novembre 2012 à 13h00

    Je suis tout à fait d'accord avec toit avec l'ambiance perçue et l'ambiance de façade dans les rêves ! Donc pour répondre à ta question : le début est très agréable, avec l'enfant sur la poutre ensuite, je suis très tendue et l'ambiance perçue se dégrade et par la suite, dans les racines-musée, l'ambiance est capitonnée mais pas désagréable. J'ai tout de m^me comme un malaise, comme lorsque je regardais Alice aux Pays des Merveilles petite : le manque de logique et de repère me déstabilise légèrement.

Suite à une attaque de Spam, les commentaires anonymes sont temporairement désactivés