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Rêvé le 17 mars 2013 - MagicEtincelle avait 23 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis dans le train bondé de monde qui fait pauvret et qui est rempli de personnes en haillons avec leurs gros sacs remplis d’affaires hétéroclites, comme des  immigrants. On fuit quelque chose. Ce train est notre sauve-conduit. Je suis avec  mes colloc 1. On se sépare et je trouve une place assise dans un wagon à côté d’une jeune mère avec tout petit bébé qui vient de naitre. En regardant autour de moi, je me rends compte qu’il y en a plein d’autres avec des nourrissons.

Des hommes armés avec un casque et habillés en combinaison de cuir circulent dans le train : impossible de voir leur visage. Ils nous font peur et on les redoute.

A un moment je vois que le bébé est posé dans la poubelle 2 et qu’elle est remplie d’eau : le pauvre petit est en train de sa noyer. Sa mère ne semble pas s’inquiéter à outre mesure, comme s’il ne risquait rien. Je m’empare du bébé à la hâte pour lui éviter une mort certaine et au sortir de l’eau il se met à pleurer. C’est seulement à ce moment-là que je jeune mère le remarque et me le prends des bras pour le bercer et le rassurer, comme si les minutes d’avant elle l’avait complètement oublié.

Les hommes armés de sont de plus en plus nombreux et ils circulent de plus en plus souvent. La tension monte dans le wagon. Ils arrivent par l’arrière du train. Des fois entre le passage de deux de leur patrouille, je vois des gens qui traversent le wagon en courant, ils sont blessés et saignent. Ils semblent fuir les soldats casqués. Ce sont eux qui les ont blessés. Je sais que mes collocs sont à l’arrière du train et je commence à m’inquiéter pour eux. Je décide de partir à leur recherche.

Je les retrouve qui sont en train de fuir. Ils ont l’air inquiet. Je leur demande ce qu’il se passe. Ils disent qu’il ne faut pas rester là et que c’est dangereux : les hommes casqués ont commencé à tirer sur tout ce qui bougeait dans les compartiments suivants et ils comptent exterminer tout le monde.  Comme je ne semble ne pas réagir plus que ça, Firenze me prend par la main et me tire dans la direction d’où je venais.

On se met à courir dans l’allée, évitant les bagages par terre. Les autres voyageurs commencent aussi à s’affoler et c’est un variable parcours du combattant de progresser. Très vite, je perds de vue mes deux autres colloc. Je me dis qu’ils ont suivi un autre itinéraire que nous 3.

A un moment mes yeux tombent sur deux poubelles remplies d’eau, comme précédemment. Dans chacune d’elles un bébé noyé et cette fois c’est trop tard pour eux ! Je suis horrifiée. Firenze me dit que c’est l’œuvre des hommes armés. Ils sont sans pitié. Il continue à me tirer par la main pour que je suive son rythme dans la foule.

On continue à fuir. Ce passage est assez flou. Par contre le décor a évolué : nous ne sommes plus dans un train mais dans une sorte de station ‘futuriste’ avec des passerelles des métal et des couloirs sombres avec lumière rouge ou bleues électriques. En fait on dirait un décors de laser-game. Le nombre de personnes diminue peu à peu. Les soldats les tuent ou les arrêtent je ne sais pas. Nous sommes à présent des rebelles qui essaient de leur échapper. Je m’en sors plutôt bien. J’ai comme l’impression d’être un aussi bien entrainée qu'un agent secret, genre James Bond. Je fais des galipettes, des sauts, grimpe à une vitesse impressionnante et je suis super agile pour éviter les tirs des soldats casqués. J’ai été séparée de Firenze mais j’essaie de le retrouver. Je ne me fais pas trop de soucis pour lui, je suis persuadée qu’il s’en sortira aussi bien que moi.

Je me souviens que je passe pas mal de temps dans des conduits type aération, un endroit sûr et efficace pour progresser sans se faire remarquer. A un moment dans un conduit, je regarde à travers une trappe grillagée et je  vois Firenze passer dans le couloir en dessous. Il est poursuivi et je décide de lui porter secours. La trappe démontée tombe miraculeusement sur les soldats qui passaient à ce moment-là.

Je profite de ce moment  pour rejoindre Firenze. Nous trouvons un passage secret qui nous fait sortir du bâtiment. Dehors il fait beau et l’endroit est paisible. Nous sommes contents de nous retrouver en sécurité. 

L'arnaque[Fragment] Les secrets de la vie en couple

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