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Rêvé le 8 janvier 2012 - Loni avait 31 ans Ajouter ce rêve à vos favoris
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Je suis dans une maison de campagne avec Amina. Nous nous apprêtons à sortir alors qu'il fait nuit. Dehors, je joue au ras du sol avec des soldats de plastique1 dans le noir, ressentant le terrain avec mes mains plus que je ne le vois.

Nous arrivons à un mur barrant entièrement le chemin, et je cherche à tâtons comment nous pourrions y passer. Je trouve une petite porte en bois sur ma gauche, et la pousse. Je m'y faufile avec difficulté parce qu'elle est étroite, et nous aboutissons dans un jardin. Je me dis qu'il est un peu tôt pour déranger nos hôtes : il fait à peine jour2 nous attendrons dans le jardin qu'ils se réveillent. Ce n'est apparemment pas de l'avis d'Amina, qui entre dans la maison sans sonner ni frapper !

Nos hôtes ne semblent pas inquiétés ni choqués, et pour cause : ce sont les grands-parents d'Amina ! Nous entrons dans le salon lambrissé, dans lequel se trouve une cabine de douche. Au-dessus de cette cabine, se trouve le grand-père d'Amina, nu et à plat ventre sur le haut de la cabine et les jambes à l'intérieur, les fesses contre le mur. Je me dis qu'il doit s'agir d'une nouvelle forme de planking, et me tourne vers le canapé pour lui laisser le loisir de descendre et de s'habiller.

Je suis revenu dans la première maison pour chercher Sachiko. Je tente de refaire le chemin (Qui m'avait semblé simple : un seul virage et tout droit), mais je ne retrouve pas le bon chemin. J'en vois deux devant moi : un avec une voie de chemin de fer désaffectée, rouillée et recouverte de mauvaises herbes sur la gauche, et une autre recouverte de graviers, avec un mur de pierre au fond. Je doute qu'il s'agisse de celle-ci : je me rappelle que le mur était en bois, et les graviers ne semblent pas avoir la même texture que cette nuit.

Baston d'autorouteLocomotive en bois et papiers en bordel

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