Offre d'emploi
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Je suis en vacances avec mes parents, quand je reçois un coup de téléphone : un recruteur m'appelle en urgence. Il a besoin pour le jour même d'un développeur. Je lui explique que c'est samedi, et que donc ça lui coûtera plus cher1. Il me dit que ça ne pose pas de souci, et je lui précise que s'il compte m'embaucher à terme, j'ai un préavis d'un mois.
Je regarde un peu mieux de quoi il s'agit : je dois apparemment coder quelque chose en utilisant une version très avancée de DreamWeaver2, mais je pense pouvoir m'en sortir malgré tout.
Bien que ce soit urgent, et que je doive rentrer à la maison pour le faire, je ne me presse pas. Au contraire, je reste en caleçon, je prends mon petit déjeuner ... À aucun moment je ne sens le besoin de me presser.
Quand je sors enfin dehors3 pour regarder le courrier4, une femme5 vient essuyer ses chaussures sur mes sandales6. Je commence à l'engueuler, mais elle ne comprend visiblement pas pourquoi, et s'en va calmement vers la maison d'où je sors. Une voisine âgée, contractuelle, vient me voir en me confirmant qu'elle n'aurait pas dû le faire.
Je me réveille pour aller pisser, il est 4h30
| Le matelas rocher | Hors du bar |
- [1]J'étais en train de penser à me mettre en portage salarial pour des petits boulots annexes
- [2]Un logiciel que je n'ai pas touché en dix ans
- [3]Il y a juste une petite palissade entre le jarin et la rue
- [4]Il est dans une boîte à lettres à l'américaine
- [5]Que j'identifie après coup comme une des vieilles peaux de l'immeuble
- [6]Celles que j'ai portées tout l'été
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