La palissade et la couche culotte
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Je suis en vacances à la campagne. En marchant, nous arrivons près de notre zone de camping, délimitée par de grandes palissades de bois de trois ou quatre mètres de haut. Nous suivons le chemin qui nous est imposé, et arrivons à une bifurcation. Les entrées de ces nouveaux chemins sont séparées en deux, pour empêcher les véhicules d'y accéder, et pour séparer la file de ceux qui y entrent de ceux qui en sortent1, et je remarque que les panneaux de sens unique et interdits ont été rabattus le long des palissades.
Nous parcourons un chemin bordant un dénivelé, pour la première fois de jour. Je me rends compte qu'il y a un lac artificiel en contrebas, et qu'il a l'air idéal pour les enfants. Je dis à Sachiko que nous devrions y emmener Hannibal, mais elle me dit qu'elle préfère aller à la mer, quelques kilomètres plus loin. Je lui dis que je suis déjà venu ici et que c'est vachement sympa.
Nous nous installons finalement un peu après le lac, le long d'une falaise, dans une crique donnant sur la mer. Les vagues n'y sont pas trop grandes, et je me dis que je pourrai laisser Hannibal s'y baigner. On me fait remarquer que je ne suis pas encore en maillot, mais je dis que ce n'est pas grave : il me suffira de me cacher derrière une serviettes, elles sont suffisamment grandes.
J'essaye d'enfiler le maillot, mais j'ai beaucoup de mal : il pend entre mes jambes et est beaucoup trop large pour moi. Je me rends alors compte que c'est parce qu'il y a une couche à l'intérieur2. J'essaye d'attacher la couche moi-même mais j'ai beaucoup de mal parce que je porte des gants. Je demande à Pierre Bunk de m'aider. Une fois que la couche est bien mise, je vais faire la bise à Éloise, qui est allongée sur une serviette près de là.
Le matin, Hannibal était très amusé quand je lui ai dit avoir rêvé que je portais une couche, tout en lui mettant la sienne. Il m'a dit qu'il en avait une spéciale quand il allait à la mer.
| Le début du DivX | Danse en chaussettes et siphonage de réservoirs |
- [1]Comme dans une file d'attente pour un parc d'attraction, bien qu'il n'y ait personne
- [2]La veille, en cherchant des timbres dans le sac à main de Sachiko, j'avais été surpris d'y trouver une couche
Commentaires
MagicEtincelle, le 29 janvier 2012 à 17h26
Hahaha on se demande bien pourquoi tu as voulu mettre la couche alors que tu aurais pu l'enlever.
Loni, le 29 janvier 2012 à 19h38
Probablement parce que c'est moi qui change celles de mon fils : je suis habitué à la manoeuvre !
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