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Rêvé le 31 mars 2009 - Loni avait 28 ans Ajouter ce rêve à vos favoris
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Je suis en forêt, avec Pierre Bunk1 et Sachiko. Je suis en train d'ajuster les réglages graphiques du jeu auquel nous jouons : en mettant tout au maximum, il devient horrible : le bump-mapping est beaucoup trop accentué, la moindre fissure est exagérément imposante, et la texture de nos bras (C'est un FPS, nous ne voyons qu'eux de notre corps) est de plus en plus épaisse et abimée, comme si nous avions énormément de cellulite. Je ramène alors les réglages à la moitié de leur capacité, ce qui rend tout de suite mieux.

Sachiko est soudain prise de hauts-le-coeur, et elle vomit2 son repas devant nous. Je dois me retenir pour ne pas vomir à mon tour.

Je continue de jouer avec Pierre Bunk. L'ambiance du jeu a changé : la forêt où nous étions tantôt était baignée d'une lumière chaude, et nous sommes maintenant à la campagne, dans une atmosphère beaucoup plus fraîche. Mon personnage (Que je vois de dos, cette fois-ci) est largué en plein ciel, sans parachute3. Je dois le diriger vers une étendue d'eau tout en faisant gonfler un canot pneumatique. Je vise une citerne mais y atterris mal, le canot n'étant pas encore gonflé. Je recommence et plonge cette fois-ci dans une rivière. Après m'être hissé sur la  berge, j'aperçois un bateau s'approchant de moi. C'est celui de Pierre Bunk, et je me prépare à l'affronter.

Je me cache derrière une structure de béton4 et attends que le bateau passe, sachant pertinemment que je serai totalement exposé à partir du moment où le navire aura dépassé ma cachette.

Pierre Bunk demande à faire une pause, pour réorganiser ses hommes sur le bateau. Je lui dis que c'est de la triche : ils sont déjà à cinq contre un ! Il ne veut rien savoir et m'explique que ses hommes vont se gausser de moi, tout en m'expliquant que c'est de là que viendrait le terme "se gausser de".

Nous retournons au jeu, et je vois la proue du bateau avancer. Je tue un premier homme et, Pierre Bunk m'ayant grandement aidé en disposant ses hommes régulièrement sur le bateau, j'aligne les suivants un à un. Je lui explique qu'en fin de compte, c'est moi qui me suis gaussé de lui.

Je me retrouve alors dans la peau du personnage, comme au début (je retourne également dans la forêt aux couleurs chaudes). Je suis devant un muret de briques, et vois une quinzaine de prisonniers au fond. Je tire sur quelques-uns d'entre eux, qui s'effondrent aussitôt. Les autres ne prennent pas peur et font comme si de rien n'était. Des infirmières péruviennes5 s'occupent d'eux. J'essaye de tirer sur un autre prisonnier, mais le projectile6 atteint l'infirmière et rien ne se passe.

Le cheval de boisAccueil d'un nouveau

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