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Rêvé le 11 novembre 2011 - Izuna&Len avait 211 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

En tant qu'auteur qui adore écrire des histoires, il m'arrive souvent de rêver d'être un de mes personnages. Et puis, j'ai eu le malheur de rêver de mon pire personnage, Ren.

La date ici présente de ce rêve est choisie au hasard. Je ne me souviens plus quand je l'ai fait, mais je me souviens c'était durant la période de ces horribles meurtres d'enfants aux étas-unis à des écoles primaires.

Mon gang et moi avions décidé de nous "amuser" en allant tuer des pauvres innocents. On entrait dans l'école. C'était la période de cours alors il n'y avait personne dans les couloirs. Chacun de nous rentrait dans différents classes et sans hésitation on se mettait à tirer sur tout ce qui bougeait. J'étais le chef, le meilleur, je ne laissais même pas le temps à mes victimes de crier. Elles avaient à peine le temps de me regarder d'un regard surpris et épouvanté.

Tandis que je sortais d'une 2ème ou 3ème classe achevée, je vis un garçon courir en criant dans le couloir. Deux membres de mon gang, une fille et un garçon, le poursuivaient. Je leur criai de ne pas le laisser s'échapper et je passai à la salle de théâtre. Des enfants apprenaient une pièce de théâtre avec leur professeur. La salle empêchait d'entendre le bruit de dehors. Ils ne réalisaient même pas le danger. Je venais vers eux en souriant, cachant mon pistolet, et l'aimable professeur me demanda si j'étais celui qui devait venir pour les aider. Je disais que oui, et montait sur scène. J'adorais voir leurs regards confiants, sûrs qu'ils avaient plus que quelques secondes à vivre. Je jouais le jeu pendant un moment, puis derrière le rideau, avec mon pistolet silencieux, je les tuai un à un. La disparition graduelle des élèves finit par inquiéter et perturber les autres, et ils se rendirent enfin compte que quelque chose clochait. La professeur n'eut que le temps de m'envoyer un regard terrifié avant de mourir avec les autres. Je sortai et vit les membres de mon groupe me rejoindre. On avait terminé.

Nonchalant, comme si de rien n'était, on reprit nos motos et partîmes vers le plus proche centre commercial. Là-bas, il y avait un petit magazin qui vendait sucettes, bonbons et biscuits. Celui qui dirigait ce dépanneur, le caissier, était notre fournisseur d'armes. Ce magasin était une simple façon de cacher son véritable métier. On se mit à parler avec lui de la montée des prix des armes, tandis que sur la télé du magasin, une chaîne télévisée montrait nos méfaits qui venaient d'être découvert par la police.

***

Changement de point de vue. J'étais maintenant la jeune fille qui avait failli laissé s'échapper un garçon de l'école. Je me demandais où était mon camarade et complice, (celui qui m'avait accompagné lors du carnage) et me dis qu'il était sans doute en train de "s'amuser sexuellement" avec le chef du gang. Ils le faisaient souvent après une opération de ce genre. 

Avec les autres membres, on partit, en parlant et rigolant comme si de rien n'était pour les douches du centre commercial. (parce oui, il y avait des douches publiques dans le centre) Un garçon essaya même de me voir nue sous la douche, et je l'envoyai se faire chier.

 

Je ne me souviens plus du reste. Je regrette. Il faut dire que la première partie m'avait marquée. J'avais eu l'impression d'être une serial killer pendant les 2 ou 3 jours suivant le rêve.

 

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