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Rêvé le 16 janvier 2014 - Flying Julie avait 29 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

J'étais en train d'assurer mon prof d'escalade 1. On était en extérieur. Il était super loin de moi, et grimpait dans le vide : il y avait ni mur, ni rocher. On aurait dit, de là où je le voyais, qu'il grimpait dans les airs. Il allait vite, du coup je devais vite faire mes manips pour l'assurer. A un moment, je me rends-compte que sa corde n'est pas reliée à la mienne, il y a une longue double-corde qui retombe au sol depuis son point d'ancrage en haut. Je réalise que je ne suis pas en train de l'assurer, malgré que ma corde pointe dans sa direction !! J'appelle, je crie, mais il ne m'entends pas et continue à grimper.

Ensuite, le rêve change. Je suis avec des jeunes, et ya un mec qui a un stand de jonglage qu'il s'apprête à ranger. Je vais le voir et lui demande si je peux regarder son matos, il me dit oui en continuant à ranger. Il avait une paire de bolas bizarre, dans le lot : on aurait dit des bouées, ou des bilboquets géants en plastique ! Elles ne me plaisent pas, alors je le salue et je pars.

Je me retrouve alors dans les 1ères candidates pour participer à une compétition de "Lazer Game"2. On a un terrain de jeu extérieur vaste : des tranchées, comme au paintball, et derrière ça des structures en bois sur différents niveaux avec pleins de cachettes. Je devais être  la 3ème ou 4ème à être "lâchée" dedans. Au début, j'étais dans les tranchées comme les autres. Puis quand je me suis retournée pour voir combien de personnes il restait à venir (beaucoup!) j'ai dit: "Hey, les filles! c'est pas là qu'il faut être, c'est là-bas!" en montrant les structures en bois.

J'y ai couru. C'était en effet plus malin : c'était le fond de l'air de jeu et vu qu'il n'y avait personne devant nous, autant bien se planquer dès maintenant ! Ensuite, quand je voyais des gens je tirais mais ça ne marchait pas... en fait je tirais "pour de faux" avec ma main, sans m'appercevoir que mon arme trainait par terre, reliée à mon gilet ! quelle gogole ! j'en ai rigolé toute seule. J'ai donc attrapé mon arme-laser, et même en visant juste, je voyais que les gens pouvaient continuer à tirer comme si je ne les avais pas visé. Ca marchait pas super, ce truc.

Puis ils ont éteints les lumières et tout devint noir de chez noir. Je voulais sortir de ce jeu qui me soulait, du coup à tâtons, je suis retournée vers les tranchées que j'ai passé une à une, et à la fin j'ai senti une barrière métallique : c'est de là que j'étais partie pour entrer dans le jeu. Je la franchie donc, et j'entend des voix féminines juste à côté de moi. Apparament, j'étais pas la seule à vouloir arrêter de jouer.

Ah zut... j'ai oublié de raconter que après l'escalade, et avant le mec avec son stand de bolas, je me suis retrouvée sur une très haute balançoire. Il n'y avait qu'une place, un grand ciel bleu et peu de choses autour. Le même décor qu'en escalade. Je me suis assise et balancée doucement. J'aurai presque dit que j'étais au ralenti... Je prenais du plaisir, c'était très agréable. Mes cheveux dansaient au gré des allers-retours, ma balançoire se tournait sur les côtés en même-temps, je penchais la tête en arrière en fermant les yeux... j'étais bien. J'ai alors senti le regard d'un homme sur moi. Il semblait être sous le charme. Il me regardait presque avec désir, j'avais l'impression !

Et puis après cela, il y a eu la partie de lazer-game. Ensuite, proche du même endroit mais en plein jour, je me suis mise à chercher mon sac de rando parmi les autres valises. Je la trouve pas; je fouille, re-fouille le long de la rue mais non, elle n'y est pas. Je suis dégoûtée, car j'ai dû emmener des trucs que j'aimais bien et que je ne reverrai pas. Un long moment plus tard, on m'informe qu'on la retrouvé. Je vais là où on l'a trouvé, et je le vois par-terre. Je le prends. Il est carrément trempé, mais surtout... tès léger. Il n'y a plus rien, dedans. Plus une affaire. On m'a tout volé, même mon vélo. J'hallucine et je m'inquiète lorsque je réalise qu'au final, je n'ai que les habits que je porte sur moi. Pas de pull, pas de manteau, pas de chaussettes ni chaussures.

Je vais alors dans un magasin de frippes et je demande à la femme qui tient la boutique, une étrangère, si elle peut me filer des vêtements. Elle ne comprends pas ce que je lui dit et ne se force pas trop non plus. Elle appelle quelqu'un, un homme arrive et elle lui demande de traduire ce que je veut. Je reformule donc en anglais de manière articulée, et elle refuse catégoriquement de me donner quoi que ce soit. Quelle grincheuse !

 

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Tir à l'arcblack twister

Commentaires

  • wilou, le 26 janvier 2014 à 17h21

    quel galère d'etre obligé de parler en anglais à son subconscient pour se faire comprendre... lol ^^

  • Flying Julie, le 28 janvier 2014 à 14h49

    Non justement c'est super ! Si je pouvais bosser mon anglais davantage pendant les rêves, je serai contente !

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