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Rêvé le 5 juillet 2010 - fa* avait 30 ans Ajouter ce rêve à vos favoris
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Un labyrinthe 1 qu’arpentent des amis sportifs ( ?!) Je suis dans une pièce de ce labyrinthe, qui contient juste une radassière et des coussins ; je vois l’espace en coupe, de côté (très étrange vue). Tout est rouge et noir, avec des zones de lumière chaleureuse, comme venant de bougies. Les amis ont trouvé ce qu’ils cherchaient, ils partent. Je réagis trop tard : le temps de lacer mes baskets montantes, ils sont loin.

Je prends un train pour les suivre. L’intérieur ressemble plutôt à des sièges de bus, sombres et confortables. Les rangs comprennent 5 sièges les uns à côté des autres, proches de ceux de devant et de derrière. Le sol est couvert de moquette foncée. Je suis près de la fenêtre, sur la gauche, mes sacs à mes pieds ; un gars est assis 2 sièges plus loin, à ma droite. Je me lève ; je ne sais pas si je dois descendre à Montereau 2 ou à Melun. Quand je reviens, une fille a prit ma place, mais mon voisin lui dit que le siège est déjà occupé. Elle se lève en me voyant ; je lui dit qu’elle peut s’assoir à côté mais elle disparaît. Un homme se penche par-dessus les sièges devant moi et veut me donner un sac en plastique ; il contient des bouteilles de soda. Je n’en veux pas ; il insiste et part. Je mets les bouteilles à mes pieds en les proposant à mon voisin.

Nous allons arriver. Nous sommes à un stop 3 d’une rue très en diagonale par rapport à la route, nous laissons passer une longue file de voitures. Je vois les rails. Un train arrive, tous les passagers descendent. Je suis mêlée à eux. Je crois que je suis à Montereau. Je retrouve Soaz. Nous descendons des escaliers, fermés par une porte comme celles qu’il faut pousser pour les « sorties définitives » du métro parisien, sauf qu’elles ont un auto-collant violet et non pas vert. Nous arrivons au bord de l’eau, sur un quai. Nous sommes mêlées à un petit groupe qui attend un bateau. Nous le voyons s’approcher. Il n’est pas très long. Il a une chminée en métal qui crache de la fumée cryogène (comme l’azote liquide). Un homme dit que c’est bien notre bateau, et que le laboratoire d’expériences est déjà installé dans la soute. Sur le pont du petit bateau, il y a des sièges, comme pour la navette qui ravitaille l’Île de Sein. Je me demande où l’on dormira, mais je me ravise en me disant que la cale est profonde. Mais sans hublot : cela m’inquiète, j’ai un léger mal de mer lorsque je manque d’air.

Le bateau s’approche du quai. Un groupe de gens y saute ; ils sont mal assurés et ouvrent leurs bras pour garder leur équilibre, ça paraît dangereux. Le bateau s’éloigne doucement. Un homme change d’avis et décide de revenir sur la berge : il commence à marcher sur l’eau puis s’enfonce peu à peu. Il est à plusieurs mètres de nous et nous dit, en barbotant laborieusement : « il n’y a pas que les petits qui se noient » ; il prononce « noaille ». Nous lui crions de nager ; il s’approche de nous, 2 personnes le tirent et le hissent.

J’aperçois un tout petit comptoir derrière moi (cafés, cocktails, courses PMU). Le gars vend aussi des baguettes. Je lui demande le prix ; il me fait toute une démonstration de ses baquettes et veux les couper pour me montrer leur mie. Je refuse, il me fatigue. Une petite baguette à épis, vraiment pas longue, coûte 8€95. Je le dis à Soaz, qui ne me dis rien. Le bateau nous fait une démonstration de ses prouesses. Il remonte ses côtés (bleus) par-dessus sa tête pour former une coque hermétique et devient un sous-marin ! c’est génial ! Sans leur parois bleues, les côtés sont vitrés. Le bateau s’enfonce dans l’eau.

Je me dis que le remède de mon possible mal de mer vaut bien 8€95 et je retourne acheter la baguette. Je passe devant tout le monde. Dans mon porte-monnaie, il y a un billet de 5€ et autre de 10€. Je tends ce dernier, mais le recto est un billet de 5€... je n’avais jamais vu ça. Le vendeur n’est pas étonné. Il prend une paire de ciseaux et déplie le billet, qui se transforme en macule d’imprimerie, avec tous ses repères couleurs et autres papillons de coupe. Il entreprend un découpage très minutieux. Une femme blonde arrive, rondouillarde et souriante ; il la connaît. Il lui demande ce qu’il peut lui offrir, elle demande de l’eau. Il pose devant elle, billet et ciseaux toujours dans la main, une serviette en papier cachant 3 verres hauts et fins, aux contenants colorés. Ils ont des pailles et l’un a des crevettes qui flottent comme des glaçons. La fille sourit, commence à boire et s’en va avec ses verres. Je surveille le bateau qui approche du quai pour l’embarquement. Je trouve que l’achat du pain est vraiment long, je m’impatiente.

 

-Réveil ; j’ai faim !!!

Pfff... un rêve franchement long, mais étrangement très précis.

Montagnes et visite HLMcauchemar nucléaire

Commentaires

  • Loni, le 9 juillet 2010 à 10h39

    Effectivement, il est très long, mais plus c'est long plus c'est bon, comme on dit ;)
    J'aime beaucoup la fin, avec les ciseaux, les verres et les crevettes !

  • Philip, le 9 juillet 2010 à 15h01

    Anxiogène, étouffant et glauque c'est excellent ! Le mec qui marche sur l'eau et se noie me rappelle un rêve que j'ai fait il y a longtemps ou un homme marchait sur les ailes d'un avion en plein vol sans parachute et finissait par tomber sous mes yeux médusés....

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