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Rêvé le 22 novembre 2011 - Coriolan avait 32 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Avec Caro, nous sommes dans une maison entourée de mousse végétale, sur un piton rocheux, au bord d'un fleuve.

Je dois plonger plusieurs fois dans l'eau glacée pour récupérer des trucs au fond de l'eau. C'est très désagréable.

Quelqu'un me kidnappe et je me retrouve embrigadé sur un bateau. On me remplace par un autre moi-même.

Cet autre moi-même prend ma place et retourne voir Caro. Il a mon apparence, mais ce n'est pas moi, et chose encore plus troublante, le rêve se poursuit comme si j'étais à l'intérieur de cet autre moi. 

Caro dessine  un plan sur une vitre avec un feutre vert. Nous nous perdons tout de même.

Nous passons devant un hôtel où se trouvent une foule de jeunes gens. Nous nous entrechoquons.  J'essaie d'avertir tout le monde que je ne suis pas réellement moi-même, que quelqu'un a usurpé mon identité, mais tandis que je fais cet aveux les gens disparaissent.

Santiago me prend la bouche et m'embrasse goulument tandis que ma soeur continue de chercher.

Le gérant de l'hôtel m'indique la bonne direction. Il faut aller jusqu'à " villa …". 

A l'endroit indiqué, nous trouvons une pharmacie, mais je cherchais un dermato. La pharmacienne me demande ce que je veux. Je lui explique que j'ai besoin d'un traitement de peau. Elle me demande de lui montrer mon symptome. Je lui fais croire que c'est un problême de maillot causé par mes plongeons successif dans le fleuve. Je suis en train d'expliquer cela lorsque Stéphan entre dans la pharmacie.

Je les accompagne, lui et son fils Robinson, à la rencontre d'Estelle sa femme et de leur petite dernière. Robinson à environ quatre ans.  La petite dernière n'est pas en âge marcher et c'est la première fois que je la vois1.

La petite, sur les épaules de sa mère, me dit salut. Je m'étonne de la clarté de sa voix.

Nous arpentons une rue commerçante, ensoleillée. Il n'y a pas grand monde, l'air est frais et nous portons des vêtements chauds.

Robinson marche un peu à la traîne, Stephan s'arrête dans une boutique. Soudain, Estelle et moi, nous rendons compte que Robinson disparu.

La gamine descend des épaules de sa mère et court à la recherche de son frère. Je coure derrière elle. Il est sans doute parti rejoindre la cousine que nous avons croisée avec son père l'instant d'avant.

Nous entrons dans une boutique. Un vieil homme très grand se tient là. Son visage est plein de barbe blanche. Je ne vois que le dessous de son menton. J'essaie d'attirer son attention, mais il fait mine de ne pas m'entendre. J'escalade alors un meuble pour parvenir à sa hauteur. Je m'aperçois alors avec stupéfaction, que son visage est entièrement recouvert de barbe blanche. La partie supérieure est considérablement rétrécie par rapport à ce qui se trouve en dessous de la mâchoire. D'en bas, je ne voyais que son menton très fourni, maintenant je m'aperçois que ce n'est pas vraiment un homme, c'est plutôt un homme chouette.

Il brandit subitement sceptre à trois yeux disposés en triangle, en disant : "Oubli". Il brandit le sceptre, d'abord face à la petite.

A ce même instant Caro entre dans la boutique. J'ai juste le temps de l'en empêcher.

Une bête au fond de l'eauLe Chat caché.

Commentaires

  • Loni, le 20 avril 2012 à 15h56

    Quand tu es dans le corps de l'"autre", tu as encore le contrôle de quelque chose, ou tu restes juste spectateur de tes propres actions ?

  • Coriolan, le 20 avril 2012 à 16h17

    Cet autre moi n'a pas véritablement de volonté propre. C'est plutôt comme si on m'avait dupliqué, et que ma substance pensante avait été transférée dans ce deuxième corps. Je sais seulement que je laisse dernière moi l'autre corps, qui est à la fois l'originale et le corps naturel. Il y a un sentiment d'urgence. Je sais que mon autre corps ne pourra pas longtemps survivre sans moi.

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