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Rêvé le 13 juin 2003 - Coriolan avait 24 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

C'est une nuit de persécution nazie. Les soldats sont partout. Ils sont prêts à entrer chez moi. Je m’en rend compte, je cherche de l'aide, mais je ne trouve personne. Tout le monde s'est déjà caché. Je suis seul et les autres ont disparus.

Je cache Pépette dans un tiroir. Elle a cinq ans Pépette, elle ne comprends pas ce qui se passe et je veux la protéger. Il faut fuir, je fais mes bagages, j'emporte avec moi ce tiroir qui contient une personne très précieuse que je veux absolument sauver de cette situation.

Il faut que je trouve une nouvelle planque pour elle et moi, un endroit où aucun soldat n'ira fouiner.

Une femme, ma femme semble t'il bien que je n'ai jamais été marié, m'aide à transporter les baggages. Nous demandons de l’aide à un couple de comédien. Nous leur demandons de nous héberger pour la nuit. Je suis très inquiet, nous ne devons pas rester dehors. Ils refusent d'être mêlés à quoi que ce soit et nous claquent la porte au nez. 

Je suis dans une rue et la muraille en briques s'étend sur ma droite à perte de vue. La rue est déserte et au sommet les fils barbelés me font sentir que toute fuite est inutile.

J'ouvre le tiroir pour laisser respirer un peu Pépette. Je découvre alors son corps putréfié.

 

Bonhommes verts, Tigre du Bengale et ptérodactyle Tsunami

Commentaires

  • Loni, le 23 mars 2011 à 0h04

    Ça doit bien être suspect en plus, de se trimbaler un tiroir ;)

  • Coriolan, le 23 mars 2011 à 14h30

    Pas tant que ça si on y réfléchit, le tiroir à la forme d'une valise...

  • Loni, le 23 mars 2011 à 14h31

    Dans ce cas, ça passe mieux. Mais ça devait pas être agréable pour ta cousine !

  • Coriolan, le 25 mars 2011 à 17h31

    Elle était vraiment toute petite (en taille je veux dire) quelques centimètres.

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