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Rêvé le 30 octobre 2016 - Anariel avait 17 ans Ajouter ce rêve à vos favoris
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J'arrive devant une petite école au crépuscule. Elle ressemble beaucoup à mon ancienne école primaire, cependant elle n'est pas située au même endroit. Il semble qu'elle soit en-dehors de la ville, le long d'une colline. Parmi les élèves de tous les âges, je reconnais Rose et Hugo Weasley, les enfants de Ron et Hermione, ainsi que les enfants de Harry Potter et Ginny Weasley, James, Albus (qui porte des lunettes rondes) et Lily.

Je passe le portail avec un autre élève, nous amenant dans une petite cour entourée de grillages. Aucune porte, aucun autre portail ne permet d'accéder au bâtiment. Nous essayons d'escalader la grille de gauche qui nous sépare d'une autre cour - suivant la configuration de mon ancienne école.

Je me retrouve assise devant une table de la cantine pour le dîner. Après avoir fini l'entrée, probablement une soupe, je dois poser mon assiette creuse au milieu de la table et prendre une assiette plate pour le plat principal, mais mon geste est interrompu par l'arrivée d'une surveillante qui me dis "Teste ça" en versant une sorte de sirop dans mon assiette. Je goûte avec ma petite cuiller pendant qu'elle passe parmi les élèves pour leur donner un peu de sirop. Il a un goût de caramel. Je finis toute mon assiette et, imitant les autres, j'essuie le reste avec du pain. La surveillante revient pour demander mon avis, et je lui répond que j'aime bien, mais je suis un peu embarrassée car j'ai la bouche pleine.

Le lendemain, à ce que je suppose, nous nous retrouvons dans une grande salle de bal. Les élèves sont assis sur des chaises en bois disposées sur trois grandes marches le long du mur de droite. Des professeurs nous enseignent l'art de la valse. Je me sens mal à l'aise car je déteste danser. À la fin de la démonstration, l'un des professeurs frappe dans ses mains et nous nous levons pour trouver un partenaire. Je n'ai vraiment pas envie de danser, mais je crains également de me retrouver seule. Heureusement, une fille blonde assise à ma gauche se met avec moi. Elle danse encore plus mal que moi (c'est dire), alors j'essaie de faire comme je peux. Nous rions beaucoup. Nous passons ensuite dans une pièce voisine, et la fille s'arrête pour sortir des partitions de son sac (il s'agit bien entendu d'une valse) car elle veut "vérifier le tempo".

Après une nouvelle démonstration des professeurs, nous changeons de partenaire. Je me retrouve cette fois-ci avec un garçon de douze ans. Je le regarde avec un air d'excuse, mais lui semble dire "c'est pas grave, ça va le faire". Ce n'est certes pas l'idéal: je suis très grande et lui très petit.

Je me rend ensuite dans un parking à étage avec une fille nommée Vane. C'est la troisième fois que je viens ici en rêve. Le premier étage mène à un centre commercial abandonné et plongé dans le noir. Il n'a pas changé. Nous prenons l'ascenseur pour nous rendre au troisième étage, afin d'assister à une "projection du passé", c’est-à-dire un événement qui a déjà eu lieu et qui est reconstitué grâce à une machine: tout ce que nous voyons est vrai mais nous ne pouvons pas interférer avec l'environnement et les personnes. D'ailleurs, celles-ci ne nous voient pas. À la manière d'un film, c'est comme si des caméras avaient filmé un moment dans le passé et que la machine le retransmettait dans notre présent, non pas sur un écran mais dans notre environnement. Ainsi, en arrivant au troisième étage, je n'arrive pas dans un parking mais à l'entrée d'un théâtre où déambulent des gens habillés à la mode du XIXe siècle. Je n'ai pas le temps d'en profiter davantage. Nous sommes plongées dans l'obscurité. De longues trainées noires sillonnent les cieux et nous encerclent. C'est une attaque de Mangemorts. Vane se précipite dans l'ascenseur; elle est tuée avant d'avoir pu s'échapper, et Voldemort en personne s'avance vers moi. Un éclair aveuglant de lumière verte me frappe et je me réveille.

Enfin, je me retrouve en Inde où je suis censée être soldat. Je loge avec tous mes camarades dans une sorte de longue et sombre cellule en béton. Des ouvertures servant à la fois de porte et de fenêtre, dépourvues de vitre (ça n'a pas d'importance, il fait très chaud), donnent directement sur une petite rue commerçante. Le sol est absolument dégoûtant: des détritus de tous genres et de toutes tailles s'amoncellent partout, baignant dans trois centimètres d'eau sale. Je distingue un vieux poste de télévision parmi les déchets. Trois rangées de casiers se dressent au milieu de la cellule. Nous dormons, mangeons et vivons ici. Je dois d'ailleurs me changer, mais je ne sais pas comment faire avec tout ce monde autour. Je décide de m'échapper sur un coup de tête. Je me retrouve dans la rue, à l'air libre, sous un soleil de fin d'après-midi. J'aperçois une autre cellule similaire en face. Je passe devant un bar où des hommes discutent tranquillement en terrasse, tourne à gauche, contourne les vélos et les voitures qui roulent un peu n'importe comment, puis revient sur l'autre trottoir. Soudain, quelqu'un me frappe très violemment à la tête. Sans réfléchir, je cours pour rejoindre ma cellule mais l'agresseur me poursuit. Un gardien portant une étrange arme rouge se tient devant l'ouverture et me repère. J'ai peur de ce qu'il va me faire, mais je n'ai pas le temps de m'inquiéter davantage car l'agresseur me rattrape, me frappe encore, m'assomme à moitié. J'ai les oreilles qui sifflent, la tête me tourne. Quelqu'un crie "Arrêtez !", je me réfugie dans la cellule, et mes souvenir s'arrêtent ici.

J'ai beaucoup rêvé cette nuit-là, à tel point que je n'ai pas été capable de me rappeler précisément de tout. Je ne suis pas sûre de l'ordre dans lequel les rêves s'enchaînent, j'ai dû arranger ça comme j'ai pu en rédigeant…

RetrouvaillesConcours à Paris

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